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Même si les histoires sont différentes, l'atmosphère m'a rappelé la série 13 reasons why. Si vous avez aimé la série, vous allez adorer ce livre.

On alterne entre le présent et le passé. Le passé principalement par le point de vue d'ambre à travers les pages de son journal intime. Cela nous permet de nous attacher à elle, et de ressentir la peine de sa famille et amis. J'ai adoré découvrir son personnage à travers son journal.

Dans son entourage, ils sont un peu dans un groupe de jeunesse doré avec des soirées avec de l'alcool, de la drogue.
On a le point de vue de beaucoup de personne, mon préféré avec le journal était celui de Sara, sa meilleure amie qui a vraiment du mal à vivre sans elle.

Il y a énormément de révélations, de secrets de famille dévoilés toute au long au l'histoire.
Sur ce qu'il a mené au moment fatidique.
Plusieurs suspects tout au long de l'histoire, mais la découverte du meurtrier m'a surprise, je ne m'attendais pas du tout à ça.

Une fin qui nous indique une suite tout aussi géniale.
Le tome 2 est sortie aujourd'hui et j'ai vraiment hâte de le lire.

Ce roman est passionnant concernant les différentes étapes de la publication de l'Oxford English Dictionary qui a commencé en 1888 sous la direction de James Murray. J'ai appris beaucoup d'informations, notamment la façon dont était choisi les mots à insérer. Concernant ce point, j'ai adoré les réflexions du personnage d'Esmé sur le fait que les mots utilisés par la bonne société et plus particulièrement les hommes, reflétant les problèmes de société de l'époque. Quid des femmes ? Et des gens issus du peuple ? N'ont-ils pas eux aussi droit à la parole ? Ce n'est pas parce que le langage est plus courant, voire parfois grossier, qu'il n'est pas régulièrement utilisé et a donc sa place dans le dictionnaire.

J'ai été très touchée par Esmé, son rapport aux mots et l'importance qu'elle leur accorde. Ils peuvent faire beaucoup, ils sont une arme efficace dans une lutte, ils peuvent protéger et défendre, ils peuvrent mettre en lumière des idées et des convictions.

Néanmoins, cette lecture m'a un peu donné le bourdon, avec plusieus évènements douloureux et beaucoup de tristesse.

C'est un tome très décevant que ce soit pour son scénario qui est très simpliste avec beaucoup trop de cases uniquement de batailles et pour les dessins qui sont nettement moins bons par rapport aux premiers tomes.
Ça se lit très vite, il y a peu de dialogue.

À l'occasion des 80 ans du débarquement allié du 6 juin 1944, les publications sur la thématique de la libération foisonnent.

On trouve notamment cette belle collection sur les compagnons de la libération qui propose des focales sur des personnages et des épisodes clés de la résistance contre l'envahisseur nazi.

Dans ce numéro c'est l'histoire de Pierre Messmer, ancien ministre des armées et Compagnon de la première heure qui dès le 17 juin 1940, refuse la capitulation du Maréchal Pétain et rejoint De Gaulle dès son fumeux appel du lendemain.

Son périple commence ainsi, sur les routes de France, témoin de la débâcle, puis en rejoignant l'Angleterre sur un cargo Italien qu'il détourne avec son ami Jean qui le suivra sur tous les front en Afrique.

Ayant pris goût au long format des romans graphiques, j'ai été un peu déçu de la rapidité de la lecture et du saut nécessaire entre chaque épisode créant un fil décousu de l'histoire mais cela s'explique par le format de la collection. Un livret historique illustré avec des photos, complète cependant la BD et permet d'étayer la biographie.

J'ai hâte de lire les autres numéros vendus par paire à un prix très raisonnable.

 Sacha, écrivain parisien, décide de quitter la capitale pour un village V. dans le sud de la France. Est-ce un hasard si, une fois installé, il y retrouve un ami de son adolescence avec lequel il a beaucoup voyagé ? L’autostoppeur, c’est ainsi qu’est dénommé le copain d’autrefois, a fondé une famille avec Marie. Ils ont un fils Agustin. Ils sont heureux. L’écrivain, tourmenté par essence ne trouve pas l’inspiration, propose parfois de s’occuper d’Agustin et s’immisce petit à petit dans la vie du foyer. Quant à l’autostoppeur, le vertige de la route et des rencontres fortuites le reprend de plus en plus souvent. Il part, en aveugle, vers le monde, les gens, les villages. Que fuit-il et pourquoi ? Pourquoi quitter ceux que l’on aime pour aller vers des inconnus ? Que cherche-t-il ? Ce livre pose des questions sur les choix de vie, la difficulté à assumer des responsabilités, le pessimisme, l’altruisme, l’égoïsme, la désinvolture et le sans-gêne. Interrogations que traite Sylvain prudhomme dans un style particulier où narration et dialogue sont sur un même plan, où l’inexistence de tirets pour chaque prise de parole brouille un peu plus les pistes. Amour , Amitié, Liberté… des thématiques et un titre, clins d’œil à Sur la route de Kerouac où l’idée est bien de poursuivre un autre idéal de vie. Au lieu de parcourir l’immensité des Etats-Unis, c’est la France, par les petites routes et les villages inconnus que nous promène Sylvain Prudhomme.

L'intrigue générale est assez intéressante mais ça part quand même dans tous les sens, et il y a beaucoup trop de coïncidences. Ça traine aussi un peu en longueur et je me suis demandé si j'allais arriver au bout. Enfin c'est chose faite. J'ai lu bien mieux de cet auteur.

Ce livre est plutôt passionnant et super bien écrit, j'ai beaucoup aimer le spin of de l'autrice qui nous raconte l'histoire du deuxième personnage nommé "Anton" dans le tout premier livre. L'histoire était vraiment différente et je ne m'attendais vraiment pas a ça mais le côté "femme bodyguards" m'a vraiment plut parce que ça permet vraiment de casser les codes de la romance ou l'homme est celui qui domine et la femme est soumises. Malgré le fait que au début l'histoire est très répétitive et plutôt longue le temps de l'immersion dans le livre, j'ai adoré et l'intrigue et les différents plots twist tous autant différents les uns des autres. Bien sûr le plus gros plot twist je m'y attendais j'en étais sûre mais le reste m'a beaucoup surpris. En plus, le fait que Mathieu et Anton donc les deux protagonistes des histoire ont des façon de penser assez différente et des sentiments différents face à certaines cituation néanmoins leur façon de se ressembler est flagrante parce que on sait qu'au départ pour chacuns des deux, vont partir avec les sujets qui tournent autour de la drogue, de l'alcool et du seXe. Autant Nymphéa et la chambre rouge était plutôt soft niveau seXe autant dans ce livre je trouve que il y a plus de passage comme cela, n'empêche, j'ai adoré ma lecture ! Je vous le conseille fortement mais lisez d'abord Nymphéa et la chambre rouge !

LECTURE TERMINÉE - CAPTIVANT ET MYSTÉRIEUX

Thriller haletant et captivant dont il est difficile de se défaire ! Si le sommeil n'avait pas eu raison de moi hier soir, j'en aurais fait une lecture d'une seule traite.

🐺 Addictif, c'est sûr !
🐺 Intrigant, c'est certain !
🐺 Mystérieux, à souhait !
🐺 Surprenant, totalement !

Une écriture directe, sans chichis, pourtant ponctuée d'un soupçon de poésie à la Oli 😉

Plonger dans l'univers de Olivier Jasinski c'est être tenu en haleine, tant le suspense est omniprésent et s'intensifie au fil des pages. Il n'y a certes que le tout début qui pourrait paraître "trop sage" mais c'est justement pour tromper le lecteur et mieux l'attirer dans ses filets.

Frissons garantis.

J'ai eu la chance de rencontrer l'auteur à la fête du livre de Fismes, un être adorable qui ne laisse pas supposer une telle imagination ... Se méfier du loup qui dort 😉🐺

@oli.jasinski

Ça fait tellement d’années que j’entends parler de ce livre que je ne pouvais pas passer à coter éternellement.

Grande fan de la période régence, j’étais sûre que ce serait le genre de livre que j’aimerai


En fait ça n’a pas été le cas, je me demande si je suis passée à côté de quelque chose mais pour moi ce n’est pas un chef d’œuvre. Je trouve ça même très brouillon avec différents protagonistes qui n’apportent pas grand chose à l’histoire. Et une histoire qui manque cruellement de réalisme et de profondeur.

Je m’explique, les gens meurent sans trop de réalisme et d’explications, on veut nous faire croire à un amour profond et maudit, j’ai pas vu d’amour profond pour ma part. J’ai vu beaucoup de superficialités surtout de Catherine, et un attachement malsain de la part de Heathcliff. Mais une histoire d’amour? Non, donc c’est pourquoi je me demande si je suis passée à côté de quelque chose?
C’est une histoire sur des gens un peu bête, avec de gros soucis psychologiques, on peut reconnaître quand même l’intérêt sur la psychologie de certains personnages, des gros clichés.

Nelly protagoniste de l’histoire est au courant de toute l’histoire et des moments importants bien sûr ! Une domestique qui aime jeter de l’huile sous le feu sous couvert de bons sentiments.
Pourquoi ce choix de protagoniste ? Et pourquoi avoir présenté cette histoire ainsi?

Bien sûr il y a des faits intéressants, des personnages qui rendent curieux mais en définitive je suis terriblement déçue de cette œuvre.

Finalement quand on replace dans le contexte, c’est la première œuvre de l’auteur qui vit une vie relativement recluse donc ça explique mes sentiments mitigés sur son œuvre.

Je n'aurais jamais lu ce livre si mon mari ne l'avait pas acheté. Rien de tel que de le lire pour se faire sa propre opinion.

Une chose est certaine : Aimé Bille est un policier profondément honnête. C'est aussi un homme qui travaille sans relâche. Et ce livre a le mérite de le démontrer.

Mais il y a un problème majeur : après le témoignage de X1, il a eu la conviction que Dutroux était forcément impliqué dans le meurtre de Christine Van Hees (le meurtre de la champignonnière), de même que Michel Nihoul et Bernard Weinstein.

Alors, il s'est mis à la recherche d'éléments qui permettraient d'accréditer sa thèse. Un comble pour un enquêteur qui est censé travailler sur toutes les pistes pour découvrir la vérité.

X1 prétend avoir été présente lors du meurtre de Christine Van Hees. Lorsqu'un panel de photo (dont celle de Christine Van Hees) est présenté à X1, celle-ci désigne quelqu'un d'autre. Mais Monsieur BILLE ne s'en émeut pas et poursuit sa recherche de points communs, parfois extrêmement tenus.

Par la suite, l'enquêteur va s'appuyer sur des allégations vraies de X1 pour déduire que tout ce que dit X est vrai.

Bref, rien n'est démontré. Par conséquent, le titre de cet ouvrage est pour moi complètement erroné comme le raisonnement fantaisiste (à tout le moins à ce stade des connaissances) qui le sous-tend. "Le mystère du meurtre de la champignonnière" me paraît plus adapté.

Ne me croyez pas sur parole. Lisez cet ouvrage à votre tour.

Il faut savoir une chose. Hocus Pocus est mon film d’Halloween préféré.
J’étais obligé d’avoir cette œuvre.

En première partie de roman nous avons l’histoire que l’on connaît avec même les paroles de la chanson de Sarah ou encore « Que mon pouvoir t’envoûte ! »
J’ai passé un bon moment, j’avais les images du film.

Dans la deuxième partie qui elle est inédite, on suit les aventures de Poppy la fille de Max et Allison.
J’aime beaucoup qu’on retrouve les anciens personnages dans la suite (Thackery et Emily Binx mais aussi Dani). Je trouve ça sympa de voir ce que Max, Allison et Dani grandir.

Pour ce qui est de l’histoire, il y a quelque longueurs mais ça se lit bien. C’est assez rapide à lire.
J’ai bien aimé que l’histoire évolue selon l’époque notamment la romance lesbienne qui change !

Si je devais faire un choix entre la première et la deuxième partie, je resterais sur la version originale car malgré que la deuxième partie soit bien elle ne pourra jamais battre l’histoire originelle.

Moi qui suis une aficionado des thrillers post-apocalyptiques, j’ai été gâtée avec la sélection du mois de mai pour le Prix des Lecteurs des Editions du Livre de Poche car elle comprenait ce livre de Waubgeshig Rice que je ne connaissais absolument pas.

« La lune de l’âpre neige » est un très chouette roman qui est paru (un peu dans l’intimité) dont je n’avais pas vu la publication en 2022 aux Editions Les Arènes, dans leur collection, Equinox. Pourtant, c’est bien dommage vu les qualités du livre qui m’a plu d’un bout à l’autre.

J’ai beaucoup apprécié cette histoire de la réserve indienne anichinabée aux prises de l’effondrement de la civilisation qui se traduit par la perte de l’électricité, dans un premier temps puis les manques de ravitaillement. C’était bien la première fois que je me trouvais dans une réserve après la fin du monde.

Ce livre est hyper intéressant pour cette originalité que l’auteur, anichinabéen lui-même, place ses décors dans une réserve indienne du Canada, tribu que je ne connaissais pas du tout.

Après, c’est aussi fascinant de voir comment les Hommes réagissent à ce genre de catastrophe, qu’ils vivent dans une réserve ou dans une ville, les problèmes sont pareils. Et en même temps, il est indéniable que les membres des tribus sont, en partie, plus amènes à revenir pour vivre en communautés et surtout, survivre, à l’exception de ceux qui désertent leur terre d’origine après l’appel de la modernité.

Le style d’écriture de l’auteur est très fluide et le lecteur se retrouve vite happé par les événements. Je n’ai pas vu le temps passé une fois ma lecture débutée. C’est bien dommage que le livre soit si court, car je serais bien restée plus longtemps sur ces terres canadiennes.

Si vous êtes comme moi fan de ce genre de lecture post-apocalyptique, je vous le conseille très vivement.
Lien : https://musemaniasbooks.be/2..

Le festival Martin Milan continue dans ce Tome 2 de l'intégrale.
Christian Godard offre au lecteur 6 récits magnifiques dont 5 exceptionnels et 1 au-dessus des autres encore pré publiés dans l'hebdomadaire Tintin entre 1971 et 1977:

- Miss Radada, avec une vieille aviatrice qui sauvera la vie de Martin Milan.

-L'émir au sept bédouins, dans lequel Martin Milan va aider un jeune homme à vaincre sa peur et devenir un chef.

-Il s'appelait Jérôme, un récit d'une indicible tristesse et d'une nostalgie des souvenirs d'enfance. Martin milan retrouve son ami Jérôme en partance pour un long voyage. Bouleversant. C'est celui-là, le préféré d'Horusfonck!

-Les hommes de la boue, sur une île perdue où un petit peuple attend le Dieu-Cargo qui doit revenir. Ce rêve se réalisera-t-il?

- L'impossible à portée de la main, et la rencontre entre Martin Milan perdu et au bord de la mort, avec un être venu d'ailleurs.

- Mille ans pour une agonie, ou le vieil homme richissime qui ne veut pas mourir et emmener Martin Milan dans une folie cryogène.

Un très beau travail, à l'adresse des lecteurs choyés de l'hebdomadaire des 7 à 77 ans. Heureuse époque.

Un roman dont j'en attendais beaucoup au vu des retours élogieux mais je suis restée sur ma faim tout au long de la lecture.

Le message transmis à bien été reçu, celui de montrer la dureté de la vie à la ferme et que ce quotidien ne fasse plus rêver les jeunes générations qui rêvent d'autre chose. L'attachement aux terres et aux bêtes qui font partie à la fois du travail et du sentimental. Et surtout la question qui taraude chacun : que deviendront ces terres sans tous les êtres qui la composent ?

Mais l'histoire de cette famille sur plusieurs générations ne m'a pas spécialement émue. On sent qu'il y a un attachement entre eux et plus particulièrement à la petite fille, mais il manquait quelque chose.

Un fond intéressant car il y a tant à dire sur le monde agricole mais une approche qui ne m'a pas accrochée. Dommage...

Ce polar va nous promener dans differents quartiers de Londres, à la fin du 19e siecle puis 150 ans plus tard , dans ces mêmes lieux.
Nous suivons une double enquete, provoquée par des meurtres, bien sordides.
Les représentants de la loi s'adjoignent l'aide éclairée d'un généalogiste . Lequel nous promène dans les archives de journaux, nous développe divers arbres généalogiques , de l'ancêtre au descendant actuel, ou inversement de la victime à un ancêtre... lui-même impliqué...
Et tout cela, en raison d'un indice fumeux (?) , disons "capillotracté"(*) . Mais cet indice va conditionner tout le déroulement de l'action.
Bon... Jack the ripper ?.... Pas exactement, mais l'incroyable peut toujours s'écrire ...

Hormis de belles descriptions d'archives et du vieux Londres, du généalogiste vieux garçon, auquel semble s'attacher l'inspectrice, l'histoire ne m'a pas captivé. J'ai juste fini afin de m'assurer que la poussiere sous le tapis avait bien été évacuée, et pour savoir combien de morts allait nous laisser l'auteur dans la rédaction de son dernier chapitre...

Donc 2,5/5...

(*) avis d'un autre lecteur babeliote,.... que je partage.

Voici le voyage initiatique d'un grain de sable devenu précieux, d'une fillette devenue adolescente et d'un chien vieillissant. Une jolie histoire empreinte de douceur, de légèreté et de poésie.

Ce conte de Lili Chartrand repose sur le trait fin et les illustrations colorées de Marion Arbona. Une jolie démonstration de la patience, de la persévérance et de l'aventure de la vie.

Merci à la Culturethèque pour la mise à disposition. Une auteure que je continuerai à découvrir…

☼ Mon avis ☼

Avant de commencer ma chronique, je voulais remercier les Éditions Kioon pour l'envoi du premier tome de " Le Quotidien d'une épée maudite ".
Nous découvrons le monde de Fantasia où de nombreuses créatures cohabitent entre eux.
Avant l'arrivée de la technologie et de ses progrès, ils se faisait la guerre, maintenant tout le monde vit ensemble en harmonie et dans la paix la plus totale.
" Le quotidien d'une épée maudite " est un manga passionnant avec un thème qui est trop souvent abordé dans les mangas.
Pourtant, malgré ça, je trouve que le scénario arrive à sortir du lot grâce à la présence de la technologie qui a complètement bouleversé la vie des habitants de fantasia.
C'est impressionnant de se dire que de simple smartphone a provoqué un déclin des guerres pour laisser place à une cohabitation saine.
Dès les premières pages, on est happé par le récit, ses personnages et le style graphique qui pour moi est juste exceptionnel.
J'ai pour vous dire tout aimer dans ce manga, cette lecture a été un véritable coup de cœur !
J'aime l'idée d'avoir mélangé le réalisme et la fantasy, je trouve que ça match plutôt bien avec cette histoire.
Les planches sont splendides, elle donne de la profondeur à l'histoire et nous embarque très facilement dans ce monde si loufoque.
Même le roi des démons est devenu une gentille personne, c'est pour vous dire à quel point ce manga est vraiment délirant !
Les personnages sont nombreux, uniques et très intéressants à suivre que ce soit les humains, les monstres, les héros etc.
En tout cas, comme vous l'avez compris, je ne peux que vous recommandez cet œuvre car elle est juste incroyable !
Lien : https://mangastra.blogspot.c..

Les fourmis…Je suis enfant. C’est l’été. J’ai le temps…Je disperse un peu de nourriture, m’assois sur le perron, les observe. Elles me fascinent, m’apaisent.

C’est ce morceau d’enfance persistant qui s’interroge aujourd’hui sur ce fabuleux microcosme. Où cheminent-elles ainsi attroupées quand des humains ont du mal à regarder dans la même direction pour une même cause? Quel est le rôle de chacune, elles qui semblent s’enrichir de la diversité ? Devons-nous apprendre de leur manière de communiquer, nous, qui persistons à croire que les sons et les écrits sont la seule façon de se comprendre? N’est-ce pas finalement toute ces raisons qui font qu’elles nous effraient et que nous les qualifions de nuisibles, cette capacité à s’adapter sans conscience du sacrifice pour accomplir leurs missions?
Dans cette fiction scientifique ancrée dans la terre, Bernard Werber nous fait cheminer auprès des fourmis et des humains pour nous faire découvrir un monde inconnu qui fait écho au nôtre mais qui répond à des valeurs écologiques et sociétales que nous oublions trop souvent. Le récit proche du documentaire ne nous cache pourtant pas la réalité d’une vie de labeur dédiée à la colonie, de guerres plus stratégiques les unes que les autres et d’une certaine cruauté dans le quotidien pour la survie de l’espèce. Si j’ai apprécié d’en apprendre davantage, j’ai trouvé le découpage et l’alternance de personnages labyrinthiques. Je me suis « butée » plus d’une fois au point de ne plus savoir de qui on parlait. Peut-être du génie de la part de l’auteur car je me suis sentie terriblement « fourmi » à devoir rebrousser chemin pour mieux comprendre. J’ai par contre beaucoup aimé cette idée sous jacente que nous serons toujours dépendants de la nature.
Un roman qui ne ressemble à nul autre et qui malgré certaines réticences mérite son succès.

Merci à la masse critique de babelio et aux éditions Michel Lafon pour l'envoi de ce livre.
J'ai souhaité le gagner pour ma fille de 8 ans mais je l'ai lu en 1er afin de donner mon avis ici.
C'est un petit roman jeunesse que j'ai beaucoup aimé. L'héroïne Penny, qui n'a rien de l'héroïne rêvée au début du roman, nous raconte ses péripéties scolaires et familiales sous la forme d'un journal intime. Au milieu des phases il y a quelques petits dessins en mode BD, ce qui permet au lecteur de faire une petite pause ludique, tout en continuant sa lecture car le dessin est partie intégrante du récit.
J'ai aimé ce petit personnage Penny qui tente de dépasser ses angoisses (très très envahissantes), et qui grandit lentement au fil des pages. Et le petit plus de ce récit, c'est le thème choisi par l'auteur avec toutes ces questions essentielles que Penny se pose sur l'amitié: Qu'est ce qu'un ami? Que peut on accepter par amitié? Doit on se changer, ne plus être soi-même pour avoir / conserver ses amis? Est ce que l'amitié dure toute la vie? Je pense que ces thèmes parlent à beaucoup d'enfants à l'école primaire, avec la crainte toujours présente de "ne plus avoir d'ami"
Apres cette lecture plaisante, j'ai passé le livre à ma fille. Hâte de savoir si son avis sur ce livre sera identique au mien!

☼ Mon avis ☼

Avant de commencer ma chronique, je voulais remercier les Éditions Kana pour l'envoi des titres de l'auteur, Io SakiSaka.
Aujourd'hui, je vous présente mon avis sur le premier tome de sa série " Love be loved leave be left ".
Ce premier tome démarre sur la rencontre entre Yuna et Akari.
Tous les deux, ont dû surmonter le départ d'un être cher et c'est grâce à Yuna qu'Akari a pu dire au revoir à cette personne.
Le temps passe et elles se retrouvent et réalisent qu'elles habitent dans le même immeuble, c'est à ce moment-là que leur amitié prend un tout autre tournant !
Ce qui est intéressant dans cette série, c'est qu'on ne suit pas une mais deux protagonistes complètement différentes dans leur manière d'agir ou de s'exprimer.
Akari m'a l'air d'être plus mature, du moins mieux renseigné sur l'amour et sur la façon d'aborder les garçons comparés à Yuna.
Quant à elle, j'ai l'impression qu'elle était d'une autre planète, dans son monde à elle et que peu de personne pouvait la comprendre.
À part son meilleur ami d'enfance, elle ne parlait à pratiquement personne.
Heureusement que sa rencontre avec Akari va la faire changer et évoluer, car elle reste assez ennuyante à suivre.
Dans le sens ou elle a l'air de ne rien connaître en amour, ou bien qu'elle ne comprend pas comment certaines filles peuvent passer d'un garçon à un autre sans pour autant être atteintes psychologiquement ou mentalement.
Même si cela n'a pas été le cas pour Akari, elle reste tout de même choquée par ce type de femme.
J'ai cette impression qu'elle découvre la vraie vie que maintenant et qu'elle sort petit à petit de sa bulle.
Pour moi le vrai point fort de cette série est le fait de suivre deux filles que tout oppose, si je n'avais que le point de vue de Yuna, j'aurais arrêté ma lecture.
Finalement, j'ai bien apprécié ce premier tome et la fin est vraiment captivant.
En tout cas, ça m'a donné envie de connaître la suite de leurs aventures !
Lien : https://mangastra.blogspot.c..