Toute cette cuisine diabolique passe encore sous le ciel bleu de l’Italie, et fait d’ailleurs partie de la « couleur locale » des quartiers pauvres de Naples. Mais il en est tout autrement en Lorraine, où la saleté chronique et la façon de vivre déplorables des Italiens font courir de sérieux dangers de contamination à la population indigène.
‘L’étoile de l’Est’, 24 juillet 1905