Il y a deux chemins. La dévotion religieuse des sages, qui est délicieuse, car elle abonde du nectar de la connaissance de la vérité, et le parti lubrique de caresser de sa paume la partie cachée entre les jambes fermes des femmes aux corps sublimes, des femmes aimantes aux seins et aux cuisses généreuses. Dites-nous lequel de ces chemins nous devrions suivre : les versants abrupts des montagnes sauvages ? Ou les croupes des femmes débordantes de passion ?"
La nourriture qu’on mendie
A beau chaque jour être insipide
Notre lit a beau être le sol,
Et n’avoir pour ami que son corps,
Et pour tout vêtement, qu’une tunique,
Faite de cent bouts de tissus en loques,
Hélas ! O Désespoir !
Jamais ne nous quittent
Les objets de nos sens.
Même une branche coupée repousse, même la lune disparue croît à nouveau: le sage qui considère ceci ne se ronge pas dans l'adversité.
Le désir jamais ne s'éteint.
C'est un jour l'homme qui s'éteint.
Ce n'est guère le temps qui passe,
C'est l'homme lui même qui passe.
Tu étais moi alors, et j'étais toi.
Quelle connexion des choses fait que maintenant tu es toi, et je suis moi?