Dans le 173e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Lhomme qui en a trop vu, histoire basée sur le témoignage du photoreporter Ali Arkady que met en scénario Simon Rochepeau, en dessin Isaac Wens et qui est édité chez Futuropolis. Cette semaine aussi, on revient sur lactualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de lalbum Les Beatles à Paris, un titre que nous devons au scénario de Philippe Thirault, épaulé par Vassilissa Thirault, au dessin de Christopher et cest publié aux éditions Robinson
- La sortie de lalbum Les herbes sauvages que lon doit à lauteur Adam de Souza et qui est édité chez Gallimard
- La sortie de lalbum Delta blues café que lon doit au scénario de Philippe Charlot, au dessin de Miras et que publient les éditions Grand angle
- La sortie de lalbum Des femmes guettant lannonce que lon doit à Fedwa Misk pour le scénario, Aude Massot pour le dessin et qui est édité chez Sarbacane
- La sortie dAprès, le troisième et dernier tome de la série Cadres noirs, adaptation dun roman de Pierre Lemaitre par Pascal Bertho au scénario, Giuseppe Liotti au dessin et cest édité chez Rue de Sèvres
- La réédition dans la collection La bibliothèque de Daniel Clowes des éditions Delcourt de Pussey, album que lon doit à Daniel Clowes
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« Qu’est-ce que vous savez des sous-vêtements qu’il porte ?
– Tu vois les mecs, c’est comme les yaourts bio, ce qu’ils portent à l’intérieur se voit à l’extérieur. »
Devenir adulte, c'est accepter les drames de son passé. Comprendre qu'on ne peut pas changer les choses.
Dans la musique, on parle souvent de l'efficacité du refrain.
Mais on oublie l'importance de l'intro.
L'intro, un riff ravageur, une ligne de basse, un break de batterie. Ça annonce tout !
Car nos oreilles n'ont pas oublié et nos papilles auditives se délectent d'avance du bonheur sonore qu'elles vont goûter par la suite avec le couplet et le refrain.
Ça fait bizarre...
C'est le premier enterrement de quelqu'un de notre âge auquel j'assiste.
Ça y est, on est passé de l'autre côté de la barrière. C'est au tour de notre génération de s'éteindre.
Dieu est d'un silencieux. Il est malin, celui-là. Il a toujours été silencieux et pourtant, tant et tant d'êtres disent l'avoir entendu. Ils peuvent même citer sa parole ! alléluia !
- Waouh, visez-moi ce décolleté !
- Hé ! Ne la mate pas comme ça, je te permets pas ! c'est ma femme!
- Jamais je ne toucherai à ta femme, je parlais de la fille au deuxième rang !
- Elle a à peine 17 ans, si tu vois ce que je veux dire !
- Et alors ? Les hommes qui passeront après moi seront ravis de son éducation !
-T'es toute pâle ! Ça va pas ?
- J'ai envie de vomir.
- Mais tu es ivre !
- "VOMI" Non, enceinte...
- Hein ?
- Ta sœur nous a annoncé qu'elle était enceinte avec un bouquet. C'était plus élégant.
- Oh, tu sais, un bouquet ou une gerbe... A cette heure de la nuit, on va pas jouer sur les mots...
- Tu savais que Frère Jacques était une chanson coquine ? L'histoire d'une femme qui s'épanche sur le sexe de son amant en lui demandant de se réveiller et que, s'il le faut, elle va sonner les mâtines !
- Bon, je vais revoir mes classiques des comptines pour enfants.
- J'ai toujours ce sentiment d'espoir malsain lorsque je rentre dans un club. J'espère que le groupe sera nul, que je puisse me sentir supérieur à ces imposteurs qui me volent mon royaume, ma scène.
Me dire qu'à tout moment, je pourrais monter dans la lumière et prouver à ces ignorants qui est le maitre de ces lieux.
Seul sur mon radeau, je constate ce soir, une fois de plus, que le groupe de merdeux, qui joue mieux que nous, vogue sur son paquebot, bourré de talent, et me laisse me noyer dans ma médiocrité.
Où vont les valeurs que l'on place en nos parents s'ils ne sont même pas là lorsqu'on déboule a l'improviste ?