Lorsque j'écris Christian, je le transforme déjà, et c'est une part infime de lui que j'explore, une perception : tout le reste m'est étranger.
Alors qui est le vrai Christian ? Celui d'avant, que j'aime, ou l'Autre, cet étranger ? [...]
L'Autre a déteint sur Christian, et, comme une lame de fond impitoyable, il emporte avec lui tous les souvenirs. (p. 118)