Pauvre Hans ! Il l'avait aimé à sa façon, comme une âme sclérosée et tarie pouvait aimer. Elle n'avait plus besoin de lui mais il l'avait désirée et lui avait appris à connaître ses sens. Une femme ne se comprend que lorsqu'elle comprend sa propre sensualité.
"Tu sais" avait dit Mareile à Hans (...) "pourquoi nous autres filles qui grandissons dans des châteaux avons des idées si stupides sur l'amour ? C'est parce que lors des bavardages sur l'amour, le corps est toujours passé sous silence."