Pourquoi, se disait Werner, pourquoi cette femme est-elle si profondément et si terriblement inscrite dans ma chair ? Que représentait-elle pour lui ? Que pouvait-elle représenter pour lui ? Qui était-elle pour enfiévrer chaque fibre et chaque nerf de son corps. Il se tenait là, caché dans les buissons, affamé de cette femme, affamé comme il ne l'avait encore jamais été. (p.114)