.Le porcher fut stupéfait. Il se releva vivement. Comme il était à mélanger le vin qui flamboie, les récipients qui servaient à sa besogne lui tombèrent des mains...
Le porcher leur présenta des plats de viandes rôties, les restes de ce qu'ils avaient mangé la veille. Il se hâta d'entasser le pain dans les corbeilles et mélangea dans un pot le vin délicieux comme le miel.. Ils jetèrent les mains sur les bonnes choses étalées toutes prêtes...
Télémaque, ayant coulé ses bras autour de son noble père, de crier sa douleur en répandant des larmes... Ils pleurèrent avec des gémissements aigus et plus pressés que ceux des oiseaux, orfraies, vautours .. à qui les hommes des champs ont ôté leurs petits