La répression ne vaudra jamais une bonne éducation. La première enseigne une leçon au fer rouge, que l’on n’oublie pas, mais qui noircit le coeur de rancune. La deuxième rend la leçon éternelle puisque l’hôte devient un jour l’enseignant à son tour. La punition est une conséquence de la peur que l’on a éprouvée. La patience est celle de la confiance. La pédagogie est la plus belle maladie que l’humanité sache transmettre.