Il y avait, dans cette solitude sylvestre, dans la jeunesse de la journée, dans l’ombre verte des sous-bois, une poésie et une paix qui me pénétraient jusqu’à l’âme. La vie soudain réapparaissait moins amère : il me semblait que je venais de décharger le fardeau des soucis et des désillusions, qu’un autre avenir allait commencer pour moi.