Citations de Marko (202)
Dire qu'on m'avait promis une victoire, une parade dans les rues de Verdun ! Quel pitoyable spectacle...
Les français sont prêts à tous les sacrifices pour garder leur forteresse...
Continuons la bataille. Verdun n'est pas tombé, mais ce sera leur tombeau.
La propagande, c'est un métier !
—Et qu’est-ce que vous allez faire ?
—Je vais faire citer à l’ordre de l’armée ce brave pigeon qui est mort au colombier après avoir fait son devoir.
—Euh... et pour le fort et mes camarades ? C’est que nous n’avons plus une goutte d’eau et nous sommes enfumés comme des renards.
—J’ignorais que la situation était si grave.
Exactement ! Cesse de te croire nulle et insignifiante, tu ne l’es que dans ta tête !
Il faut sans cesse nourrir son imagination pour qu'elle puisse tout entrevoir ! Surtout l'inimaginable.
Et pour la nourrir, rien ne vaut les livres, les voyages, les rencontres... Tout ce qui vient chambouler nos idées reçues et nos chemins tout tracés...
- Cherche-t-il à se hisser sur des cadavres pour faire de la politique ?
- Vous devriez avoir honte , monsieur le ministre de la guerre !
Car il ne s'agit pas ici de politique, mais de l'honneur de deux de ces poilus que vous couvrez de fleurs pour mieux les étouffer.
La victoire a une sale gueule !
Ces politiques n’ont pas de nerf ! Ils nous harcèlent de visites et de coups de téléphone. Vivement que les boches attaquent, cela fera taire le parlement et le gouvernement. Et puis, je ne crois toujours pas que Verdun soit l’objectif de l’ennemi, il doit mijoter autre chose…
Les bateaux sont plus en sécurité au port, mais
ce n’est pas pour rester au port que sont faits les bateaux
Décide où tu veux aller, mais laisse la vie t'y mener à sa façon
En fait, le bonheur c'est une vie avec de belles relations, tout simplement...
Chacun d'entre nous avance avec son fardeau. Le tout est d'arriver à saisir les petits moments de grâce qui s'offrent à nous...
Seule ton intuition, ton ressenti profond peuvent te guider vers les meilleurs choix ! Rarement la logique ou la raison...
À Verdun, le général Boyer dirigeait la 52e division, et le colonel Bernard la 103e brigade. J'accuse le premier d'avoir réclamé la mort sans jugement des lieutenants Herduin et Millant que lui suggérait le second. J'accuse le ministre Louis Barthou de les couvrir. Lorsque le général Boyer circulera dans les rues de Bourges, je veux que le cri d'Assassin parte du cœur des veuves, mères on enfants des morts de cette guerre.
Pour être un champion, vous devez croire en vous-même quand personne d'autre ne le fait.
Les folies sont les seules choses que l'on ne regrette jamais.
- mais qu’est-ce que c’est que cette odeur pestilentielle ?
- il y a des morts partout, des cadavres en charpie. Tant qu’il faisait froid, tout allait bien, mais avec les beaux jours, forcément...
Pas une feuille. On dirait que les allemands ont supprimé le printemps !
—Un village ? Mais je ne vois rien...
—Mort pour la France lui aussi. Rasé par les obus...
Quel temps magnifique.
Et dire que des milliers d’hommes vont mourir.