Mourir, en effet, c'est l'une ou l'autre de ces deux choses; car, ou bien la chose est de telle sorte que le mort n'a absolument pas d'existence et qu'il n'a non plus aucune conscience de quoi que ce soit, ou bien, comme on le dit, c'est précisément un changement d'existence, et, pour l'âme, une migration de ce lieu-ci vers un autre lieu.