Cette léthargie du Régent jetait ses serviteurs dans l'abattement et dans l'impossibilité de tout bien. Elle l'avait conduit enfin sur le bord du précipice, et le royaume qu'il gouvernait à la veille de la plus grande confusion. Le Régent, sans avoir l'horrible vice ni les mignons d'Henri III, avait encore plus que lui affiché la débauche journalière, l'indécence et l'impiété, et, comme Henri III, était trahi dans le plus intérieur de son Conseil et de son domestique.