La non-vie de M. Aubespin nous a semblé une scène d'un blasphème si passéiste que jamais nous n'avons d'abord pensé à consulter le grimoire de notre époque.
- Internet ?
Je ne souffrirais pas si j'étais votre hôte, et je veux vivre dans le faîte de la croix qui orne votre sépulture. Je veux entendre toutes les nuits le conte de votre mort et la perte de votre respir. Faites-moi écouter le goût salé de la noyade (...). (...) tombons ensemble dans les immensités silencieuses où se reflètent les comètes de vos yeux tristes.