Mémorial de Caen
Télématin 11-03-2008
En ces temps anciens le grand et miséricordieux calife Haroun al-Rachid -que son nom soit à jamais loué- vivait à Bagdad, capitale du plus grand empire jamais connu. Il ne sortait guère, sauf pour se rendre à la mosquée ou chez sa mère. Il ne fréquentait pas son peuple, le commandeur des croyants avaient des affaires plus importantes à gérer. Les pauvres l'étaient davantage chaque jour, les riches construisaient des palais de plus en plus grands, la misère et la révolte commençaient à germer dans certains cœurs... Bagdad n'était plus sûre.
"La nuit était tombée et notre ami avançait dans sa besogne. Qui pouvait imaginer qu'une simple feuille allait changer notre destin et son avenir ?
Mon fils, un jour tu devras suivre un chemin aussi tortueux que celui qui traverse cette forêt...
Méfie-toi de tous ceux qui renient nos nobles traditions...Tu es le dernier né d'une illustre famille arverne...Notre peuple aura besoin un jour prochain d'un chef vaillant et juste...Ne l'oublie jamais !
on sera dorénavant les sept nains et demi !
Si vous pouvez trouver quelque chose pour les effrayer, vous pouvez leur faire faire tout ce que vous voulez.
"L'aventure débutera quand la lectrice ou le lecteur tournera cette page..."
"La lauréate deviendra la reine du monde enchanté en épousant le roi. Telle est votre mission pour les pages à venir !"
Il faut être toujours ivre. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules, il faut s'enivrer sans trêve. De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous !
Tu as toujours eu de gros bras pour en imposer aux autres... Dans le fond, t'es qu'une mauviette comme toutes ces tapettes de la Gestapo de la rue Lauriston !
L'heure des comptes a sonné !
La mort d'un seul combattant ne suffit pas à arrêter le combat.
Ne te fixe pas en un pays où le roi n'est point respecté.