Dans une salle de classe, on sanctionne tout ce qui trahit ce que l'on ressent. Comment en est-on arrivé à l'idée que l'élève parfait est celui qui n'a pas de corps, pas de besoin, pas de sensibilité, pas de fragilités ? Je ne crois pas que ce formatage crée des adultes épanouis, libres, tolérants. Je ne crois pas que camoufler ses fragilités rende plus fort. Au contraire.