« Le jour, au fond des bois, au penchant des collines,
Elle vit de buissons, de ronces et d'épines ;
Le soir, fidèle à l'heure, elle rentre au hameau :
Elle-même rassemble et conduit son troupeau ;
Et, le sein tout gonflé des tributs qu'elle apporte,
Du bercail avec peine elle franchit la porte.
Soigne-la donc au moins durant les froids hivers,
Et tiens sa maison chaude et tes greniers ouverts. »