A JOHN VINE MILNE
Mon cher père,
Comme tous les gens d'une nature foncièrement bonne, vous avez un faible pour les romans policiers, et vous pensez qu'il n'y en a pas assez. Aussi, après tout ce que vous avez fait pour moi, le moins que je puisse faire pour vous est-il de vous en écrire un.
Le voici : avec plus de gratitude et d'affection qu'il ne m'est possible d'en exprimer ici.
A.A. M.