Citation de poppy64
A la fin du XVIIè siècle, les moines venaient tout juste de terminer leur nouveau réfectoire lorsqu'un vent d'orthodoxie tatillonne se mit à souffler dans les couloirs du monastère. De nombreux moines se trouvèrent subitement une âme de juge des consciences. La première victime fut le livre. Tous les ouvrages jugés licencieux ou soupçonnés de contenir une quelconque forme d'hérésie furent déposés dans ce coffre-fort de l'inquisition. Le réfectoire se transforma en oubliettes et prit publiquement le nom de la salle du trompe l'oeil.