En payant mon café, j’ai demandé au patron s’il savait ce que c’étaient des Francs-maçons. Évidemment qu’il le savait. Il avait eu à faire à eux bon nombre de fois avant la guerre. C’étaient des ouvriers du bâtiment. Des gars tout ce qui a plus fiables et sérieux. Avec eux, pas d’entourloupe, les devis étaient respectés au franc près. D’où l’expression franc-maçon.