Parler de l’arbre sans évoquer les oiseaux serait à mes yeux une erreur. Il existe entre le végétal et les volatiles une grande complicité, et l’un ne peut vivre sans l’autre. Le premier offre aux seconds le gîte et bien souvent le couvert, quand ces derniers débarrassent les branchages de quelques indésirables et favorisent la dissémination de leurs graines. Les oiseaux donnent vie au végétal, et leur chant nous émerveille.