Il aimait Altagracia comme on aime un animal sauvage. On l’aime pour ce qu’il est : libre, indompté, allant et venant sans contrainte, avec le regard brillant des fauves ne connaissant ni le doute, ni la peur, vénérant la vie car connaissant son véritable prix.L’aimer pour soi, l’enfermer dans une relation bourgeoise, finirait par éteindre son regard et tuer l’amour lui-même.