Il n'avait pas l'oreille absolue, il n'avait, au mieux, qu'un certain rythme, dont il ne pouvait faire la démonstration que lorsqu'il dansait. Il vieillirait et rien en lui ne mûrirait comme chez les virtuoses du piano et du violon, sauf son désir d'avoir un talent qui n'était pas donné à tout le monde, surtout pas à lui.