De grands programmes de santé pour de grandes causes, oui,
mais quid des autres besoins ?
L'augmentation des ressources a privilégié des programmes dits "verticaux", axés sur une ou des maladies. Cela pose le problème de l'équilibre des financements entre de "grandes causes" qui font du bruit (sida, tuberculose ...) et de "petites causes", tout aussi importantes mais plus silencieuses, comme l'accès à l'eau potable ou la lutte contre la mortalité maternelle.