Je ne sais pas tailler, c'est un fait. D'abord, j'ai peur de couper (c'est presque un sacrilège à mes yeux), peur d'abîmer irrémédiablement un arbuste. Ensuite, j'ai beau lire les explications dispensées dans les guides, je ne comprends pas toujours où il faut couper exactement, une histoire d'yeux que j'ai dû mal à visualiser. Je ne fais qu'enlever des rameaux ou branches mortes (exemple : mes framboisiers) et le seul arbuste d'ornement que je sais tailler, c'est l'arbre à papillons. Pour ce qui est des arbres fruitiers, je n'en parle même pas, je ne touche à rien.
C'est donc pleine d'espoir que j'ai entamé la lecture de ce guide. Deux choses ont retenu mon attention : d'abord, une sympathique explication sur le fonctionnement d'un arbre. Comment il vit et grandit. Cela parait idiot comme ça, mais je ne suis pas certaine que tout le monde sache réellement comment vit un arbre. Surtout à la campagne (il n'y a qu'à voir comment les haies sont maltraitées !). Ensuite, un éloge de la taille douce, qui me parait être tellement logique. Cette logique ne s'impose pas à tout le monde, car il n'y a pas 15 jours que dans la commune où je travaille, les services municipaux ont transformé les platanes en crayons géants ! Et mon voisin a littéralement fait ratiboiser son magnifique tilleul. J'en aurai pleuré.
Bref, revenons à mon jardin. J'ai un pommier qui a bien 20 ans. Ce n'est pas moi qui l'ai planté de sorte que je ne sais pas du tout de quelle espèce il s'agit. Il donne des pommes d'un vert brillant, acides, à récolter en octobre-novembre. Depuis 2 ans, malgré une belle floraison de printemps, il ne donne plus de pommes. Son allure générale donne une impression de fouillis. Il faudrait sûrement que je taille. Je ne suis pas certaine que ce guide va m'aider dans la pratique même de la taille. J'ai cependant noté un conseil judicieux : observer son arbre quand on enlève seulement le bois mort, le principe de l'auto-élagage. Voilà ce que je vais faire dans un premier temps, observer.
Ce que je retiens de cette lecture, malgré les photos et schémas, c'est que la taille d'un arbre est une opération extrêmement délicate, traumatisante pour le jardinier amateur et l'arbre, si c'est mal fait. L'auteur nous dit aussi que tailler n'est pas une fatalité. Certains arbres n'ont pas besoin d'une coupe express ! Laissons faire la nature, la biodiversité ne s'en portera que mieux.
C'est donc un ouvrage qui reste technique malgré tout et qui, à mon humble avis, mais c'est le cas de n'importe quel guide consacré à ce sujet, ne remplacera jamais un apprentissage sur le terrain avec un spécialiste.
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Voilà bien un arbre qui m’est ce que fut pour Proust , la fameuse madeleine ! Tout craquant de cigales , sa peau de tigre ocellée de taches de soleil , il a abrité mes siestes enfantines. Cette courte monographie dans la délicieuse collection « Le nom de l’arbre » passe en revue son histoire, ses légendes et les soins à lui apporter , science et poésie mêlée. Belles illustrations d’Yves Lansor.
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Une fois n’est pas coutume, ce sont des plantes qui sont à honneur de cet album de cette collection de Dame Nature.
Des plantes qui ont des particularités plutôt surprenantes et qui n’invitent pas à les cueillir. Effectivement elle peuvent : puer, vous griffer, vous blesser, se cramponner à vous, vous piquer, vous brûler et certaines sont poisseuses ou collantes.
Des plantes donc très étonnantes et qui méritent d’être connues (ne serait-ce pour éviter les mauvaises rencontres !).
Et c’est là le reproche de cet album qui aurait mérité de détailler de façon plus importante les lieux où l’on trouve ces plantes particulières. Une petite carte aurait été un plus pour déterminer où se trouvent ces plantes géographiquement avec le type de milieu qu’elles affectionnent (sous-bois, bord de chemin, zone humide...).
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Si le platane irradie de la lumière de mon enfance , le pin en est la musique et le parfum. Et dans le cas du pin parasol la calligraphie de ses branches se découpant sur le ciel de Provence ou les collines de Rome. Dans la collection « Le nom de l’arbre » , l’auteur lui consacre une monographie ,illustrée par Olivier Taffin : son origine ,sa culture, ses produits dérivés (Ah la tarte aux pignons !) et la liste de quelques sujets célèbres et leur histoire.
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Ce livre, tout frais, tout original, permet de mettre les enfants à contribution après les promenades et propose des recettes toutes naturelles et bizarres…
Pour les petites têtes blondes, brunes, rousses, vertes et rouges, tout est simple : le matériel est décrit, un herbier est inclus, les recettes explicitées et les illustrations sont magnifiques.
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un petit livre faisant partie d'une collection ayant l'ambition de traiter tous les arbres de nos contrées.
celui-ci est bien fait, complet sur la biologie de l'arbre et surtout les anciens usages des fruits ou du bois.
pour les amateurs
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J'entame cette collection prometteuse avec ce chouette petit livre sur le Pin parasol.
Cette monographie de Lionel Hignard et Alain Pontoppidan nous livre une foule d'informations ; tantôt historique, tantôt botanique, tantôt culinaire, etc, très intéressantes !
C'est un livre petit format d'une grande richesse sur la connaissance de cet arbre.
J'ai apprécié que cet ouvrage parle du Pin parasol au sens large et non seulement d'un point de vu purement botanique. C'est un historique complet que l'on découvre au fil des chapitres. On ne s'imagine pas toujours l'impact des espèces d'arbres sur nous humain et vice versa. Que ce soit des impacts positifs comme négatifs. Et ce livre vient les mettre en évidence. Ainsi, j'aurai un autre regard sur ce pin lorsque ma route croisera un individu de cet espèce !
Les illustrations monochromes qui viennent égayer la lecture sont très jolies.
Un beau petit livre qui mérite une place dans la bibliothèque des passionné(e)s (ou non) de nature !
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Cette petite collection est très bien faite et après avoir lu ce livre, vous ne regarderez plus les figuiers de la même façon. très complet.
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J'aime les monographies lorsqu'elles sont rédigées "au naturel".
Voici une série de monographies sur les arbres de nos régions qui enchantera les amateurs et les passionnés, les botanistes et les jardiniers...
De la réalité botanique : anatomie, exigences, utilisation, à sa place dans notre imaginaire et à sa symbolique, ces livrets très complets, sont autant de sources de connaissances scientifiques et de joies simples.
Un régal !
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Bon j'avoue que c'est le titre qui a fait que ce livre se trouve entre mes mains. Un peu d'humour ne fait jamais de mal, et de connaissances non plus. Car bien au delà du coté jovial que l'on retrouve au travers des textes ou des illustrations ce sont de vraies informations étonnantes que nous découvrons. Un livre intéressant dans son domaine.
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A lire ce livre, on pourrait se prendre pour Tarzan et s'imaginer, de liane en liane, se poser dans les diverses forêts décrites. Ici, elle est composée d'arbres qui flamboient à l'automne. Là-bas, elle se constitue d'arbres râblés, ailleurs encore elle est toujours verte. La forêt est le lieu de l'inquiétant, de l'obscur, mais aussi l'abri d'une faune diverse, de couleurs, de bruits. Chaque type est localisé dans le monde, présenté en deux pages avec sa flore, sa faune. Dessins et photos se jouxtent, une petite anecdote présente le texte : c'est agréable, court, et passionnant pour tous. Un livre dont faire un coup de coeur, sauf...
Sauf qu'il a été mal relu et qu'une scandaleuse erreur, incompréhensible, apparaît page 23 : la Syrie est incluse dans le continent africain. Or, la séparation entre Asie et Afrique c'est l'isthme de Suez, bien au sud de la Syrie ! Impossible de proposer ce livre, sauf à faire un errata ! C'est d'autant plus dommage qu'il est magnifique.
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Pourquoi le bambou s’appelle le bambou ? Est-ce qu’une vache peut attraper un coup de soleil ? Pourquoi dit-on d’un nouvel arrivé que c’est un bleu (et quel rapport avec les plantes) ? Est-ce que les saules peuvent baver ? Pourquoi faut-il souffler sur les graines d’anis ? Saviez-vous que le plus gros champignon pesait 22 kilos ? D’où vient le nom coquelicot et celui d’avocat ? Comment Clovis a gagné une guerre grâce aux iris ? Quelle plante, bien présente aujourd’hui dans nos assiettes, est responsable de la mort d’un prince et de l’empoisonnement de deux papes ?
Cette édition collector, compilation de trois livres sortis précédemment, est une mine d’informations insolites et rigolotes sur les plantes. J’ai appris énormément de choses (que j’aurais sans doute oublié dans un mois mais j’ai tout raconté aux minus et eux vont s’en souvenir à coup sûr).
J’ai un peu moins aimé les petits dessins humoristiques que je n’ai pas toujours trouvés très drôles mais ça a fait rire les plus jeunes.
Un très chouette ouvrage à offrir à tous les curieux de la nature.
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Sur notre site de cuisine : la cuisine de mémé Moniq que je tiens avec mes 2 filles, voici notre critique sur les livres de cuisine pour les enfants de notre bibliothèque dont ce livre. Elles ont testé la plupart de ces livres en étant enfants !
http://cuisine-meme-moniq.com/critique-livres-cuisine-pour-enfants/
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J'aime les monographies lorsqu'elles sont rédigées "au naturel".
Voici une série de monographies sur les arbres de nos régions qui enchantera les amateurs et les passionnés, les botanistes et les jardiniers...
De la réalité botanique : anatomie, exigences, utilisation, à sa place dans notre imaginaire et à sa symbolique, ces livrets très complets, sont autant de sources de connaissances scientifiques et de joies simples.
Un régal !
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