Curiosité, ouverture d'esprit, rigueur ...
On doit reconnaître malgré tout que, si ces arguments sont invoqués, c'est que, s'agissant du latin et du grec, on manque d'arguments concrets, précis et utilitaires.
Ce n'est plus l'évidence qui commande d'apprendre le latin, le grec ; c'est au contraire un besoin de gratuité, une sorte de superflu, dont on prétend, avec Voltaire, qu'il est très nécessaire. Plus la tête s'emplit, plus elle doit être bien faite, disent Socrate et Cicéron.