A travers ses discours embrouillés, Boris finit par l'identifier comme un rabatteur de l’Église qui cherchait à acheter sa voix pour les élections prochaines ; comme il s'étonnait de voir ce procédé encore en vigueur, l'autre exprima ouvertement sa satisfaction à ce sujet : en dernière analyse, les chefs avaient estimé que c'était plus sûr. Ainsi, rien n'était changé de l'ancien système, les prix eux-mêmes, disait-il, se trouvaient rétablis au niveau antérieur.
Page 148 (édition J'ai Lu 1985)