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Critiques de Alain Roquefort (20)
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Sous le velours, l'épine

J'ai lutté mais je m'avoue vaincue après plus de 250 pages (sachant qu'il m'en restait 500 encore à lire) tant je me suis plongée dans un abîme d'ennui.



Je n'adhère pas du tout à l'écriture de Alain Roquefort qui se perd dans des ellipses et des circonvolutions qui m'ont parues inutiles et ennuyeuses et avec lesquelles il semble prendre un plaisir presque masturbatoire.



En plus de ces longueurs, je lui reproche un grand manque d'authenticité et de crédibilité. L'histoire a déjà été maintes fois prise sous cet angle : une vieille dame se rappelle ce qu'elle a vécu durant la seconde guerre mondiale où elle était résistante en même temps que son fiancé à jamais son amour. Sauf que l'auteur ne fait aucune distinction entre les dialogues et le récit puisqu'en effet ceux-ci se perdent dans des détails superflus et prennent, quel que soit le personnage, ce même langage emprunté qui sonne terriblement faux. Et pour une dame de 84 ans, quelle mémoire exceptionnelle également ! Pourquoi l'auteur a-t-il choisi une narration à la première personne totalement incompatible avec son écriture fouillée ? Qui plus est son personnage se raconte de manière tout à fait improbable à un inconnu rencontré dans le bistrot d'une gare...



Outre le réalisme, il m'a donc manqué de la simplicité et du relief, des sentiments, des personnages qui prennent vie. Rien ici sauf un auteur qui se regarde écrire de belles phrases. Il s'agit de son premier roman, ceci expliquant peut être cela. Je suis bien désolée de ne pas avoir su apprécier ses efforts. Mais reprendre son livre m'en coûtait à chaque fois et mon acharnement prend fin ici pour que la lecture reste ce plaisir qu'elle doit être.

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Sous le velours, l'épine

En 2003, un homme attends sa femme.une vielle ville femme, va l, abordé pars que il ressemble à son frère.elle va lui raconté sa vie.

Sous l, occupation, son engagement dans la résistance. Rose c'est son mon va se libérer d, un lourd secret. Personnellement , on peut trouver le début , un peu surealiste. Pas la rencontre, mais qu,une inconnue vous raconte sa vie, parce que vous ressembler à son frère.

Mais bon c, est le premier roman de l, auteur.

Mais après on trouve un roman, bien documenté sur les réseaux de résistance,ou des personnages qui ont réellement excité, le contexte historique et bien trascrit.amour, haine, lâcheté et vengeance.une plongée dans une période difficile, et trouble.

Un roman passionnant.
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Sous le velours, l'épine

Une lecture passe-temps agréable, une écriture plaisante (on devine volontiers qu'il s'agit d'un premier livre : verve épanouie , besoin de s'épancher , de faire des apartés pour en dire encore plus) mais une histoire sans grande originalité, avec une introduction quelque peu saugrenue : une vieille dame aborde un inconnu à la terrasse d'un café et parce qu'il ressemble à l'un de ses frères Marius , elle va lui raconter longuement, en menus détails , avec force circonvolution, sa vie, plus précisément sa jeunesse , et les épreuves douloureuses subies pendant la guerre alors qu'elle était dans la Résistance. Il faut y croire, et lire jusqu'au bout pour une chute quelque peu fantasque à mon goût…

Ce n'est pas un vrai roman de « gare » car il est fort épais et quelque peu encombrant à manipuler et à transporter avec ces plus de 600 pages, mais il se lit aisément , on se laisse porter par cette histoire.

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Sous le velours, l'épine

Les éditions "Nouveaux auteurs" nous offrent encore une pépite! Et je suis pourtant bien embarrassée d'en rédiger la critique car je ne veux surtout pas dévoiler le moindre indice sur l'intrigue afin que celui ou celle qui aurait envie de découvrir 'Sous le velours, l'épine" puisse (non, je ne suis pas sadique) recevoir les 1001 gifles émotionnelles qu'il ne manquera pas d'encaisser...



Ce roman n'est pas un livre qui se raconte; il se vit! Il doit être découvert et lu par le plus grand nombre! Une réussite sur tous les plans: style, intrigues, références historiques, messages... A mes yeux, un des meilleurs romans sur la Résistance et les conséquences de l'Occupation sur la vie intime des familles qui l'ont vécue depuis bien longtemps...



Tout est là: suspens, construction originale, style prenant, références historiques, émotions...



C'est un des livres que je ne risque pas d'oublier! (Petit clin d'oeil à l'originale liste proposée par Gwen21)











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Sous le velours, l'épine

Je referme à regret ce pavé. J'ai vécu plusieurs jours avec Rose, Xavier, Marius, Eva, Geneviève et les autres. Leur dire au revoir est difficile, le livre est gros mais est passé très vite. J'aurais aimé en savoir plus, ne pas les quitter si vite.

Alain Roquefort raconte avec talent l'histoire de Rose, sur fond d'Histoire. Celle de la Seconde guerre mondiale. J'ai aimé sa façon de raconter la guerre, surtout sous le régime de Vichy. L'auteur débusque les faiblesses de l'Etat Français sans fausse pudeur.

C'est un coup de coeur.
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Sous le velours, l'épine

Contrairement à d'autres commentaires, le côté "gros pavé" de ce roman ne m'a pas gêné. Il se lit assez bien et vite. L'histoire débute en 2003 par une rencontre dans un café entre une dame de 84 ans et un homme de 60. Au fil de la conversation, Rose (le prénom de l'héroïne) va raconter sa vie et plus particulièrement son passé de résistante. Bien sûr, dès le début, j'ai flairé que cette rencontre ne devait pas être innocente et la fin me donna raison. le récit se déroule à Toulouse et dans ses environs, une histoire assez classique de résistants avec tracts, aides aux Juifs et enfin actions violentes contre l'occupant allemand et surtout la milice. Un hommage est donné au maquis de Meilhan massacré réellement en juillet 1944. le lecteur n'échappe pas à la dureté de la répression avec en tête l'interrogatoire de Rose et son viol collectif. J'ai plutôt apprecié ce "énième" récit (annoncé imaginaire à la 1er page du livre) des français qui ont décidé de résister. J'ai moins aimé la trame finale avec la pseudo traque des deux miliciens après-guerre, surtout que l'histoire devient moins crédible avec ce rapt d'enfant un peu téléphoné et qui ne s'explique guère. Ensuite la longue vie d'après-guerre de Rose (pourtant encore jeune à la Libération) aurait pu être un peu mieux imaginé. Dès les premiers chapitres, elle annonce que son mari Xavier meurt en 1948 et qu'après, plus rien, elle lui est restée fidèle, menant une vie de solitaire et de mélancolie jusqu'en 2003. Une vraie traversée du désert. Bof ! A titre de comparaison, dans le scénario du film Titanic, la mort de Léo di Caprio, n'empêche pas Kate Winslet, malgré leur amour de refaire sa vie. C'est beaucoup plus crédible. le coup de théâtre final est gros comme une maison, même s'il nous tient un peu en haleine. Au final, un livre plutôt plaisant pour qui aime la période de la seconde guerre mondiale, même avec ces remarques de ma part.
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Sous le velours, l'épine

Il m’aura fallu quelques chapitres pour vraiment rentrer dans l’histoire notamment en raison de quelques lenteurs et d’un style parfois un peu «documentaire». En dépit du fait que je n’ai pas eu LE coup de foudre instantané, je suis tout de même tombée sous le charme de cette histoire et de ses héros.



Rose, la protagoniste, nous raconte son histoire, assez tragique, par le biais de flashbacks. De son insouciante jeunesse à Toulouse où elle suit des cours de droit pour devenir Juge d’instruction, à sa rencontre amoureuse avec le ténébreux Xavier, on tire lentement le fil de l’histoire de la jeune femme.



Le bonheur juvénile des premières années va malheureusement rapidement laisser place au désarroi le plus total dès l’entrée des Allemands sur le territoire français. Alors que le Sud résiste un peu plus longtemps, l’ensemble du territoire va bientôt se retrouver placé sous la coupe de l’occupation étrangère.



Révoltés par la propagation du fascisme et la haine au sein de toutes les strates de la population, Rose, Xavier et un groupe de proches se révoltent et fondent un réseau de résistance qui va mener à bien de nombreuses actions.



Les quatre années d’occupation sont abordées et autant dire qu’elles sont riches en événements. Rien ne sera épargné à nos personnages et on explore toute une palette d’émotions fortes avec eux.



Les traitements inhumains subis dans les camps de concentration, le travail forcé des hommes réquisitionnés dans le cadre du STO et le stress post traumatique sont également des thèmes évoqués.



L’ouvrage est très détaillé et documenté, Alain Roquefort nous permet de vivre de l’intérieur les actions de ce groupe de Résistants. C’est avant tout leur résilience et leur courage dans l’adversité qui m’a impressionné. Savoir que des femmes et des hommes ont lutté pour les valeurs et les libertés fondamentales de notre Pays tandis que tant d’autres se sont laissés aller à l’inimitié ou à la résignation…



En effet, Alain Rochefort ne cède pas à cet idéal en vertu duquel la majorité des français se serait révoltés contre l’occupant. Bien au contraire, on réalise à quel point la situation était éloignée de ce que l’on voudrait nous faire croire dans certains livres d’Histoire au nom de la Réhabilitation. L’auteur ne cède pas à la glorification de tous les résistants pour autant et le roman ne passe pas sous silence la vengeance sanglante de ces derniers durant les premiers mois suivant la libération. La violence engendre la violence dans un cercle infernal dont il est bien difficile de sortir et il est effrayant de réaliser que nous ne sommes jamais très loin des pires périodes de notre Histoire.



Malgré la noirceur de ces événements, l’espoir ne se déclare jamais vaincu : des femmes et des hommes vont prendre les armes au nom d’un bonheur perdu et en l’honneur de la devise nationale « liberté, égalité, fraternité ».



En bref : Cette lecture est une fresque poignante qu’il est bon de lire pour notre devoir de mémoire. En effet, fermer la porte sur ces souvenirs collectifs c’est prendre le risque de voir l’Histoire se répéter et d’oublier les actes de bonté de ceux qui se sont battus pour l’Humanité. Je vous recommande chaleureusement cette lecture.
Lien : https://thecosmicsam.com
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Sous le velours, l'épine

Une rencontre imprévue, un visage d’autrefois croisé par hasard à la gare de Toulouse, c’est tout ce qu’il faut pour faire resurgir du passé les souvenirs enfouis d’une mystérieuse octogénaire.

Ancienne résistante, Rose dissimule un secret dont elle cherche désespérément à se libérer. Après avoir connu l’insouciance d’avant-guerre, cette jeune provinciale va plonger au coeur de la barbarie et de la cruauté humaine.

Amours, haine, courage, lâcheté, cette fresque est celle d’une inexorable obsession de vengeance. Celle d’une femme que la guerre va bouleverser jusqu’au point de non-retour…

Un livre passionnant, captivant et rempli d'émotion.

Un roman vraiment très bien écrit avec comme toile de fond la deuxième guerre mondiale.

Je recommande ce roman.
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Sous le velours, l'épine

Je n'ai pas pu lire plus de 100 pages. L'écriture est trop scolaire, pas assez fluide et l'action est vraiment longue à se mettre en place.

Les dialogues ne sont pas crédibles, écrits dans une langue écrite et non parlée, donc peu réalistes. Et j'ai vraiment du mal lorsque quelqu'un raconte sa vie en détaillant tout à l'extrême...Ca ne fait pas vrai du tout.

Le sujet traité (la Résistance, je suppose) est probablement bien raconté, mais je n'ai pas eu le courage d'aller plus loin pour rentrer dans le vif du sujet.

A vous d'essayer !
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Sous le velours, l'épine

Alain Roquefort, la soixantaine, a toujours été habité par l’écriture. C’est en 2014 qu’il se lance et publie son premier roman, Sous le velours, l’épine (Les Nouveaux Auteurs, 2014), récompensé par le Prix Femme Actuelle 2014 et le Prix spécial du Jury Roman de l’Académie des Jeux floraux de Toulouse.

« Sous le velours, l’épine n’est pas un livre qui se raconte ; il se vit ».

Rien n’est plus juste que cette phrase issue de la chronique d’Oona, publiée sur Babelio. La fresque émouvante et passionnante d’Alain Roquefort raconte le destin extraordinaire de Rose, une octogénaire qui porte un lourd secret dont elle veut se délester. Une rencontre imprévue à la gare de Toulouse va lui permettre de faire remonter des souvenirs et des secrets jusque-là bien gardés…

Ce récit, bien que se déroulant à une époque fortement troublée de notre histoire, est une œuvre de fiction. Pour autant, l’histoire de Rose n’en est pas moins émouvante et passionnante ! Alain Roquefort possède un tel talent de conteur que son histoire éveille des réminiscences de faits réels. Dès les premières pages, le lecteur éprouve une connivence immédiate avec les personnages, comme une curieuse impression de déjà-vu ou de déjà entendu... Par le truchement du récit de cette jeune provinciale pleine de rêves et d’ambition, on s’immisce dans son passé, dans son enfance heureuse, on l’accompagne dans l’insouciance des années 30, puis, plus tard, pendant les années de guerre, à l’époque où la peur, les atrocités, les lâchetés sont monnaie courante et où les valeurs morales ne semblent ne plus avoir de sens…

Sous le velours, l’épine revient évidemment sur les heures les plus sombres de notre histoire. Alain Roquefort y dénonce le rôle méprisable que la France a joué à l’époque. Dans cette violente critique de l’ordre xénophobe, lâche et servile qu’était le régime de Vichy, l’auteur exprime son dégoût profond et sa honte de la France de l’époque. Ce climat délétère auquel s’ajoutent les intérêts personnels, animés par un esprit de lucre facile a de quoi choquer les esprits ! À l’heure où certains épisodes peu glorieux sont efffacés au profit de l’honneur du pays et de sa reconstruction nationale, Alain Roquefort n’hésite pas à condamner férocement la politique nauséabonde d’un pays collaborationniste, aux valeurs morales inversées, dans lequel l’honnête citoyen se sent coupable. Délation, lois d’aryanisation, spoliations, déportation…, rien n’est épargné au lecteur ! C’est profondément révoltant et écœurant !

Avec Rose, le lecteur plonge littéralement au cœur de la barbarie et de la cruauté humaine ! Entre amour, haine et courage, Rose vivra mille et une pérégrinations chaotiques, mille et une souffrances physiques et morales mais sa farouche et inexorable obsession de vengeance pourra-t-elle effacer les outrages ? Toujours est-il que l'explosion de son passé bouleversant trop longtemps contenu va ébranler le présent à tout jamais !

Sous le velours, l’épine est un roman attachant, poignant, une histoire remplie d'émotion magnifiquement contée, à conseiller à toutes les générations qui n'ont pas connu cette période sombre de notre histoire.
Lien : http://histoiredusoir.canalb..
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Sous le velours, l'épine

Un beau pavé! Une belle découverte, moi qui avais choisi ce livre par hasard!



J'ai dévoré ce livre qui raconte, sous forme de flashback, la vie d'une résistante lors de la 2eme guerre mondiale.



Rose, jeune femme "de bonne famille", étudiante, va vivre à Toulouse pour ces études de droit et la guerre éclate peu après.



Ne supportant pas l'injustice et étant entourée d'une bande d'amis idéalistes et révolutionnaires, elle "rentre" dans la résistance.



Bien que ce livre soit une fiction, il m'a fait néanmoins découvrir la vie durant la guerre mais principalement sous l'angle des "collabos", ces Français qui ont choisi de "tenir" avec le pays envahisseur.

Sans porter de jugement car seules les personnesprésentes à ce moment-là peuvent confirmer la véracité des "faits" relatés dans ce livre (est-ce que ces types de faits ont vraiment existés ?) , on ne reste pas indifférent à cette histoire et on a bien évidemment envie de "tenir" avec Rose et ses copains.



J'ai eu du mal à "lâcher" ce livre car je voulais toujours connaitre la suite, il fut donc lu en quelques jours malgré le nombre de pages (près de 800).

C'est un livre très prenant, bien écrit.



Deux petits points négatifs : il est trop long. J'avoue en avoir eu un peu marre, pas du sujet du livre, mais de la longueur. J'aurais préféré avoir la même histoire en 2 tomes, me permettant ainsi d'avoir le plaisir de terminer un tome sans avoir l'impression "qu'il était temps que cela se termine".

De plus, de temps en temps, la chronologie ne fut pas respectée dans le livre et c'est dommage car on est déjà au courant de faits alors que cela ne s'est pas encore passé.



Mais la beauté du livre dépasse ces 2 points négatifs, à découvrir au plus vite!





















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Sous le velours, l'épine

Cette rose a des épines !! Mais comme il est passionnant de découvrir ses secrets !
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Sous le velours, l'épine

mièvre, ampoulé, long long beaucoup trop long...Mais quel ennui toute cette prose sans originalité...j'abonne en cours...
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Sous le velours, l'épine

l'histoire : bien, j'apprécie ces histoires où l'on devient un héros malgré soi... J'avoue avoir zappé certains passages dont le lyrisme de l'écriture m'a un "tantinet" dérangé, trop appuyé... à mon humble avis...
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Sous le velours, l'épine

Agréable lecture . Je referme à regret ce pavé. J'ai vécu plusieurs jours avec Rose, Xavier, Marius, Eva, Geneviève et les autres. Leur dire au revoir est difficile, le livre est gros mais est passé très vite. J'aurais aimé en savoir plus, ne pas les quitter si vite.

Alain Roquefort raconte avec talent l'histoire de Rose, sur fond d'Histoire. Celle de la Seconde guerre mondiale. J'ai aimé sa façon de raconter la guerre, surtout sous le régime de Vichy. L'auteur débusque les faiblesses de l'Etat Français sans fausse pudeur.
Lien : https://livre.fnac.com/a1043..
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Sous le velours, l'épine

Je n'ai pas trop adhéré au choix fait par l'auteur d'un personnage qui durant un long, long, très long entretien dans un café (situation peu crédible à mon sens), raconte plus de soixante ans de sa vie, MAIS, MAIS, l'histoire, elle, est magnifique et les personnages touchants. Un morceau d'Histoire sombre, et poignante grâce à eux. Je recommande vivement.
Lien : https://la-clef-des-mots.e-m..
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Sous le velours, l'épine

Un très bon livre qui décrit la seconde guerre mondiale à Toulouse. La grande histoire au travers de la petite. Une petite pépite à découvrir.
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Sous le velours, l'épine

une vision de Toulouse, sous l'occupation, tous n'est pas rose, loin sans faut, évocation, qui donne l'envie de savoir un peu plus sur la résistance, en midi Pyrénées.
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Sous le velours, l'épine

J'ai dévoré ce livre magnifiquement écrit. L'histoire de cette femme racontée à cet inconnu, que l'on imagine ne pas l'être vraiment, tient le lecteur en haleine jusqu'à la dernière ligne. On peut trouver qu'il y a trop de détails qui alourdissent le récit mais l'écriture les sublime et on lit avec un plaisir décuplé. Il y a une véritable force émotionnelle et une grande connaissance de l'époque historique. Un livre qui ne s'oublie pas et qui restera en bonne place dans ma bibliothèque comme bon nombre des romans de cet éditeur qui, tous ont été un coup de cœur.

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Sous le velours, l'épine

Une autobiographie fictive d’une femme faisant partie de la resistance pendant la guerre... certes son recit est émouvant mais qu est ce que c etait long et ennuyeux! Et la fin est tout a fait prévisible... dommage..
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