Pour n’avoir pas su neutraliser les germes de destruction, pour avoir préféré taire les deux grandes transgressions que sont l’inceste et l’adultère, Arthur est condamné à voir son royaume s’effondrer, sa famille s’entretuer, ses amis l’abandonner, ses fidèles se révolter. Une telle senefiance ne pouvait échapper aux lecteurs médiévaux.