Et si l'on s'interroge, comme le fit le grand poète aîné Antonio Machado, sur ce crime qui eut lieu à Grenade, si l'on veut savoir ce qui s'es passé au ravin de Viznar, à la "Source des larmes", et si l'on demande qui était la victime et pourquoi le mutisme qui suivit, ce silence après la rafale, cette glace sur les lèvres, ce malaise aux gradins et ce sang répandu sur la peau de taureau alors les pierres vous renverront, en écho cette seule réponse :
C'est Lorca qu'on assassine...