Les routes du Nord étant pavées de cubes de pierres remarquables par leur irrégularité, les soixante pèlerins rescapés du Tour de France, tour que l'on appelle aussi « Tour de souffrance », roulaient sur les trottoirs et en changeaient à chaque instant, comme s'ils cherchaient une place où ils auraient moins mal. […] Ce n'était cependant pas à une guerre que nous assistions, mais à une course. À juger la chose sur l'extérieur, il n'y avait pas sur la face des acteurs une énorme différence.