Le soldat déteste que l'on chante sa gloire en détonnant. Les panégyriques que l'on fait de lui sont toujours "à côté". Rien ne l'irrite autant que l'idée théâtrale que l'on a de sa personne... L'encens que l'on brûle devant lui est arrivé à l'écoeurer. Il n'y a que les statues de bois pour supporter sans broncher la fadeur de cette fumée (p. 143).