Toutefois, les violences contre la population civile furent contenues, et on évita de justesse le massacre, mais aux premières heures de la capitulation les vols et les viols se comptaient déjà par centaines : dans leur langage technique, qui fait froid dans le dos, les capitaines italiens faits prisonniers rapportent que les vainqueurs firent subir aux habitants grecs "un léger saccage, usant de leurs femmes et de leurs enfants en leur présence".