Il haïssait ce type de femmes qui permettent aux hommes, les pires de leur espèce, les plus frustrés, les plus violents, de devenir leurs maîtres, de les exploiter, perpétuant l’idée qu’une femme n’est qu’un morceau de chair. Il y a des bêtes sauvages qui doivent mourir : dans son esprit, cette pensée était désormais claire et définitive.