Alexander C. Irvine

Vous avez aimé le film Pacific Rim de Guillermo Del Toro sorti en 2013 en France ? Vous aimerez ce livre, novélisation officielle selon la couverture.



Dans un avenir proche, des Kaijus (bêtes mystérieuses en Japonais légèrement piquées aux hormones et donc à dimension gratte-cielesque) sortent d'une brêche "spatio-temporelle" de la fosse des Mariannes et font des millions de victimes. La parade "provisoire" ? Les Jaegers, des robots géants pilotés par deux rangers. Mais le projet, pourtant mondial, trop cher à financer et l'adaptation des Kaijus de plus en plus puissants forcent l'humanité à abandonner et se replier derrière des murs qui ne seront d'aucune utilité. Le combat final approche et le programme moribond des Jaegers semble être le dernier espoir de l'humanité. Qui ? Que sont ces Kaijus ?



Un ultra basique.  Une atmosphère sombre, assez propice au style plus ou moins post-apocalyptique. Un ou deux héros, qui se prêtent mieux au cinéma qu'à la littérature qui a d'habitude une capacité nettement plus poussée à développer des background, à nuancer des personnages, à développer une certaine crédibilité scientifique. Ici que nenni. On colle au film avec juste quelques notes de situation et rapports techniques de la Pan-Pacific Défense Corps pour donner du corps, mais dans les films on a les images. Adrénaline et testostérone font ici assez défaut et le livre manque un peu de Punch, ce qui est un comble pour des Robots combattants sur-dimensionnés. Sans compter les quelques incohérences qui nous sautent à la face plus visible dans un livre qu'au cinéma d'action technologique où cette même cohérence et crédibilité ne sont pas forcément la raison première d'être.



Mais qu'on ne se méprenne pas. C'est du basique, mais au final ça fait le Job. C'est une novélisation, pas un roman adapté et encore moins un roman duquel est issu le film. A lire donc uniquement après avoir vu le film histoire d'avoir les images en support.

De temps en temps, j'aime encore bien lire une novélisation. Je trouve le concept assez sympa d'autant plus que cela permet de savoir à quoi pensent les personnages. Comme je l'ai dit pour ma critique de Star Trek d'Alan Dean Foster : c'est comme regarder la version longue, sauf qu'ici je me suis beaucoup moins amusée.



Je m'explique. Entre les chapitres il y avait des encadrés pour donner des informations diverses pas toujours intéressantes. J'ai trouvé que cela cassait un peu le rythme de l'histoire et si on les enlève... que reste-t-il des 432 pages?



Je ne suis peut-être (probablement) pas très objective. Il me faut avouer que je kiffe davantage Star Trek que les histoires de robots et de kaijus ^_^



J'aurais aimé en apprendre davantage sur les Précurseurs (les créateurs des kaijus) et sur leur univers.



Bref, une petite lecture sympathique mais j'ai préféré le film.

Lecture laborieuse que ce roman fantastique. Si la trame a de quoi me séduire - fantastique, légende aztèque - le récit est compliqué à suivre. On se perd dans les intrigues, entre les personnages, leurs intentions ainsi qu'entre les divinités aztèques dont personnellement je ne connaissais pas grand chose. On se perd et on se lasse. Il n'est pas dans mes habitudes de lâcher un livre entamé, pour autant j'ai failli céder à la tentation un certain nombre de fois. On commence réellement à suivre le récit qu'au bout de 200 p, c'est-à-dire la moitié du livre. Bref, une déception pour ma part. Je vais rapidement me mettre entre les mains un roman qui est une source sûre pour m'en remettre.



Challenge Multi-défis 2019

Challenge Le tour du scrabble en 80 jours

Challenge ABC

Challenge Mauvais Genres

Challenge Déductions élémentaires

Challenge USA

J'ai vite compris au rythme du récit, qu'il était impossible que le dénouement ai lieu dans ce volume et je déteste cela. Commencer un livre où rien n'indique que ce ne sera pas un tome unique c'est vraiment pénible. Dommage, le genre est de ceux que j'apprécie particulièrement : le post-apocalyptique, et la couverture attrayante annonçait tout de suite la couleur. C'était pourtant bien parti, le scénario tenait la route, l'écriture agréable et le curriculum des personnages très acceptable, mais cela n'a pas suffit.



Un virus a décimé une grande partie de la population mondiale et ce qui reste du gouvernement ne suffit pas à gérer l'anarchie qui s'est installée.

Nous suivons d'un côté une femme, April Kelleher, qui cherche des réponses concernant la mort de son mari, chercheur scientifique et de l'autre, Aurelio Diaz, agent d'élite, faisant parti d'une organisation militaire gouvernementale, la Division, chargé de missions d'importances. Et pour finir, un groupe d'enfants dont ceux d'Aurelio, presque livrés à eux-mêmes dans une ville où les gangs font des ravages et qui cherchent à survivre.



La base est bonne sans être exceptionnelle mais le contenu sonne creux. Il manque cette chaleur, cette étincelle qui rend attachants les héros et donne envie de connaitre la suite. Le seul personnage ayant retenu mon attention est celui du traite, Ike Ronson, ambiguë et nuancé.

En conclusion, l'intrigue est trop lente pour rendre palpitante cette histoire et donner envie d'acheter la suite si elle voit le jour. L'intérêt est donc limité pour vouloir commencer ou continuer l'aventure, cet avis n'engageant que moi.

Ce roman est l'adaptation du film de Steven Spielberg concernant le célèbre reporter belge : Tintin. J'ai passé un bon moment de lecture, très bref car ce livre ce lit d'une seule traite , les scènes d'actions y sont omniprésentes. Et c'est bien normal car nous sommes dans l'exacte réplique du film. A lire pour se divertir.

Acheter en format double avec le tresor de Rackam le rouge.

C'est avec une nouvelle joie que j'ai retrouvé cette univers et que dire de plus alors que tout le monde les à déja lu...... Et que ma collection avance a petit pas ;)

• Daredevil Noir

• Alex Irvine (Scénario) & Tomm Coker (Dessin)

• Panini Comics



Marvel Noir est une idée des années 2000 de transposer différents personnages de l'univers Marvel dans un New-York des années 1930 avec un style de récit qui se veut un peu "polar noir".



J'avais déjà lu les récits consacrés à Spider-Man (le premier des deux) et à Iron Man, me voila maintenant avec l'occasion de lire les autres, et c'est avec plaisir que je me relance dans cette aventure, qui est plus, avec mon personnage favoris, Daredevil.



Si les personnages sont transposés dans les années 30, ce n'est pas le seul changement, ainsi, cet univers se veut plus terre à terre.

Ainsi, quelques détails de la vie des personnages vont changer.

Pour Matt Murdock, que sont père aurait voulu voir devenir avocat, pas de robe noir pour lui, en effet, à cet époque, un jeune garçon issus des quartiers populaires et qui plus est aveugle n'aurait eu aucune chance de devenir avocat.

Un petit détail certes, mais que j'ai trouvé assez intelligent.



Pour le reste, une aventure assez classique (mais sympathique) opposant Daredevil à des ennemis de toujours mais aussi à de nouveaux. Et bien entendu, dans l'histoire, il faut une femme. Que serait Matt Murdock sans ses histoires d'amours ?



Un récit que j'ai pris plaisir à lire et qui me donne très envie de continuer sur les autres personnages.

Le problème de Tintin : le Secret de la Licorne : le roman du film est justement celui-ci : d'être un roman du film. Copie conforme des plus correctes du film de Spielberg, il a cependant le défaut d'être une copie conforme, sans intérêt particulier du film. Qui peut prétendre que l'on peut reproduire un film en décrivant, avec de l'encre et du papier ? Il y manque la mise en scène, les décors, le son, etc. Et c'est ce qui a fait l'échec relatif qu'a représenté cet ouvrage : que l'idée en elle-même n'était pas bonne.

Le roman suit bien la trame du film, il se lit assez vite. J'ai passé un agréable moment et ce produit dérivé du film reste toujours mieux que la bande dessinée qu'ils ont édités pour l'occasion.

Sans lire les 3 précédents tomes je me suis intéressé à celui de Daredevil, et je crois que j'aurais dû commencer par les autres.



Cette collection, qui met en scène des personnages emblématiques de l'univers Marvel, est un peu différente dans son style et dans l'utilisation des héros que beaucoup connaissent.



J'avoue que j'ai commencé la lecture sans savoir où ça irait et j'avoue que je suis un peu déçu. Ce côté polar surfait avec un style trop rétro m'a un peu dégoûtée au fil de ma lecture. Je m'attendais à plus pour une lecture reprenant les traits des années 30. Le multivers, ok, mais avec des histoires moins attendues. La femme demande au diable de hell's kitchen de mener l'enquête au milieu des criminels des années 30.



Une histoire sans surprise, les graphismes de Coker, appréciés par d'autres, m'ont beaucoup déplu dans ma lecture et j'avoue que je m'attendais à mieux. C'était lisible.



En espérant que les autres tomes sauront me surprendre, on verra !

Quand les Editions Bragelonne te donnent l'occasion de faire le plein de lectures de vacances.





Oui, vous savez aussi de quoi je parle. De la Grosse OP naturellement, celle qui a eu la semaine avant que je parte en vacances. Des centaines de livres à découvrir pour mes vacances, l'occasion de me gaver à mort pour la rentrée. Je n'ai pas pu résister et je suis sûre que vous non plus, vous n'avez pas pu le faire non plus. Le temps de terminer ma lecture en cours, de partir en Choupette pour la Bretagne, un arrêt chez le Beauf et la Beaufette. Et hop hop hop. J'ai bien entendu ouvert le plus sympa pour mon cerveau. Parce que j'avais adoré le film. J'ai nommé : Pacific Rim.



Et là vous me dites : Ouai, la novellisation, est ce qu'on peut dire qu'il y a une réelle surprise dans la lecture ? Peut on mieux apprécier le livre que le film ? (on ne rentrera pas dans le débat si le film de base était bon ou pas, ou dans quel ordre il faut consommer : film avant ou après livre, toussa toussa). Il faut savoir que les blockbusters et moi, à gros budget, j'adore les voir au cinéma pour m'en prendre plein les mirettes. Et parfois même j'adore les mettre en dvd à la maison parce que cela me permet de faire ce que j'appelle du Picking. En gros, je regarde d'un oeil le film en ne me concentrant que sur les moments préférés et de l'autre côté, je tricote, je range, je repasse, je lis, je papote. Que sais je ? Tout comme je peux mettre à la place des podcasts, de la musique. C'est du bruit ludique, tout simplement. Mais parfois, le film ne me suffit pas simplement. J'ai envie d'en savoir un peu plus, même si ce n'est pas beaucoup. Ou tout simplement, j'ai envie de retrouver l'ambiance d'un film mais dans la lecture. C'est pourquoi la novellisation et moi, cela fait bon ménage, surtout pendant les vacances.





Et donc, qu'apporte le livre en plus du film ?



Lorsque j'ai regardé Pacific Rim, ce que j'ai aimé comme principe, c'est le fait d'avoir un système de partage de la charge neuronale qui permette à deux personnes de partager entièrement ses souvenirs. On voit dans le film le partage entre les frères : ici, le héros et son frère au début. Le partage entre un père et son fils (on le voit dans des personnages secondaires) et entre un homme et une femme dont l'alchimie fait penser à une relation amoureuse (les deux héros). Or, dans le livre, on a forcément les relations entre les personnages qui sont accentués sans que ce soit super relous et Alex Irvine s'est bien débrouillé. Mais il est allé plus loin encore. Il a développé aussi une réaction neuronale avec le Jaeger. Et là j'ai trouvé cela super intéressant.



Sinon, que vous dire d'autre ? Si vous avez aimé le film, ce roman sur la plage, un week end où vous avez juste envie de vous poser avec un livre. C'est fait pour vous. Et même que vous allez pouvoir y trouver une petite sucrerie en plus. Et c'est pour cela que c'est fait. Sur ce, à la prochaine :)
Lien : http://labibliodekoko.blogsp..

J'ai bien aimé ce livre car il y a beaucoup d'actions, de suspenses, beaucoup de blagues. J'ai également rigolé au moment où le capitaine Haddock mit le feu à la barque pendant que tintin se reposait et pour activer le feu, le capitaine jeta une bouteille d'alcool contre l'interdiction de Tintin qui se réveilla à ce moment. Il y a plusieurs péripéties aussi rigolotes les unes que les autres. Entre autres, ils échappèrent lors de cette navigation à l'attaque d'un canadair qui leur permit d'arriver au désert avec un atterrissage plus ou moins réussi car le canadair a explosé.



Morggann

Une arme biologique a causé une épidémie mondiale et dévastatrice en Amérique. Alors, que les décès semblent s'être arrêtés, les États-Unis vivent toujours dans l'anarchie et le chaos que le gouvernement ne peut contrôler. Pendant ce temps-là, l'équipe de la division essaie de faire respecter la loi.



Nous allons suivre l'agent Aurélio Diaz parti à la recherche d'un agent ayant perdu la raison. En chemin, il sera rejoint par April Kelleher qui mène une quête afin de trouver des réponses.




C'est la première fois que je lis un livre sur l'espionnage et quelle découverte ! N'ayant pas joué aux jeux vidéo, j'ai eu des appréhensions face à la compréhension du livre, mais au final rien de bien sorcier. Le livre peut très bien être lu sans avoir eu connaissance du jeu. 





J'ai trouvé ce livre vraiment bien écrit avec un très bon scénario. Les différents chapitres sont coupés en fonction des personnages, avec une narration plus qu'au top. La description est propre à chacun et correspond parfaitement aux types de personnes décrites. Par exemple, les civils ont suivis leurs instincts, alors que les agents de la division sont formés et réagissent comme un soldat. J'ai beaucoup aimé cette réalité de l'histoire. De plus, j'ai apprécié l'ensemble des personnages qui ont toutes leurs propres personnalités. 




Je recommande ce roman autant aux amateurs de dystopie qu'aux joueurs.


Lien : https://leslecturesdelauryss..

La série Marvel noir a pour but de transposer l'univers de ses super-héros dans les années de la grande dépression américaine (entre les années 30 et les années 50), ambiance polar noir garantie !

Déjà amatrice du genre, vous rajoutez un de mes justiciers préférés et le tour est joué ! On retrouve donc Matt Murdock aka Daredevil avec ses compagnons majeurs, Foggy Nelson et son némésis de toujours, Kingpin.

Au coeur de l'histoire : l'assassinat de papa Murdock, Battlin' Jack, un rival, une femme et un mystérieux tueur très à l'aise avec des couverts ...

Malgré une refonte de certains détails, cette mini-série garde le parfum de la série originale ! La partie graphique est superbe et comble peut être quelques facilités du scénario.

EXTRAIT "Marvel Comics a voulu donner une tonalité plus sombre, plus polar, à un certain nombre de ses personnages, ce qui a amené la création de la ligne Marvel Noir. Après Spider-Man, Wolverine, et les X-Men, c'est Daredevil qui a eu droit à ce petit jeu.

Malheureusement, l'originalité recherchée est totalement absente. La faute à une série qui baigne depuis bien longtemps déjà dans l'ambiance spéciale voulue pour cette collection."
Lien : http://www.chroniquesdelinvi..

L'éditeur "Mana Books" revient cette fois sur la franchise du jeu de science-fiction militaire Halo dans une guerre brutale dont nul ne ressort indemne.
Lien : https://www.actuabd.com/Halo..

Après le Spider-Man Noir, le X-Men Noir et le Wolverine Noir, voici donc le quatrième tome de cette collection Noir de Marvel qui repose sur le concept des univers alternatifs. Une collection qui met en scène des personnages emblématiques tels que Spider-Man, Daredevil, Wolverine, Luke Cage et Punisher au sein d'un univers totalement différent.



A la base, je pense que le personnage de Daredevil est sans doute le plus adapté à une transposition au sein d’un environnement de polar sombre. Et même si le résultat final est loin d’être mauvais, je m’attendais à beaucoup mieux pour ce polar noir dédié au Diable de Hell’s Kitchen. Le scénario proposé par Alexander Irvine est plutôt classique et finalement assez similaire à celui du Wolverine Noir : c’est à nouveau une femme fatale qui vient demander à notre héros de mener une enquête dans le milieu du crime des années 30.



Le récit est sans véritables surprises et je ne suis pas trop fan des modifications apportées au personnage, que ce soit l’origine modifiée de notre acrobate ou son caractère plus violent face au crime. Le graphisme de Tomm Coker est par contre assez réussi. Il fait ressortir toute la noirceur du quartier de Hell’s Kitchen et les apparitions de son Diable sont savamment voilées par des ombres. Son style s’inscrit dans la lignée des Maleev et consorts et je ne serais donc pas étonné de le retrouver un jour sur la série principale.



Bon, mais sans surprises !

Deux Ex : Dissidence ravira certainement d’abord les fins connaisseurs de la série de jeux vidéos. Mais parson intrigue et son ambiance cyberpunk, ce titre de chez Mana Books parviendra peut-être à toucher un public au-delà de ce champ initial.
Lien : http://www.actuabd.com/Deus-..

Ce nouveau numéro d'Avengers comprend un numéro d'Avengers, qui met en scène Captain America prisonnier des alliés d'Osborn et les autres Vengeurs qui tente, tant bien que mal, de contrer le plan d'Osborn de ré-acquérir le pouvoir.

Un épisode assez sympathique et divertissant mais qui ne transcende pas le genre, loin de là. Il se lit vite, s'oublie vite et manque cruellement de dynamisme. Pour autant, ce n'est pas le plus mauvais épisode de ce magazine.



De son côté, Captain America vit des aventures en solo. Dans la série éponyme, il se bat contre les Serpents qui utilisent une Madbomb, explosif rendant la foule agressive. Il doit aussi faire face à son problème de régression, lorsque, par moments, il redevient le Steve Rogers d'avant l'expérience du Super-Soldat. Un épisode transitoire, qui n'apporte pas de clés, mais qui est illustrée par le grand Alan Davis.



Dans sa seconde série, Captain America travaille avec Hawkeye à la recherche d'un groupe d'écologistes disparus. Dessinée par un Vitti peu en forme et écrite par un Bunn qui a l'esprit ailleurs, cette série n'a, pour ce premier épisode, rien de bien distrayant. Poussif, déjà vu, l'épisode du mois ne laisse rien présager de bon pour un arc qui durera quatre épisodes.



Enfin, le magazine s'achève sur deux épisodes de Iron Man: Rapture. Ce seront les derniers: enfin. Les deux premiers épisodes étaient lisibles, agréables mais ces deux derniers sont assez mauvais. On s'ennuie alors que l'on devrait atteindre la partie la plus intéressante de l'histoire. Mais ni l'action, ni le dénouement ne nous procurent du plaisir.



Au final, c'est un magazine assez en dessous avec des parutions Marvel décevante. Espérons que le mois prochain, avec l'arrivée de Avengers Assemble, nous aurons des épisodes plus intéressants.
Lien : http://prat-books.blogspot.f..

[…] Un numéro qui reste assez plaisant dans l'ensemble.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..