Nous sommes anti-vie et pro-mort quand nous faisons le jeu des politiciens, des mercantis et des exploiteurs. Nous faisons leur jeu parce qu'on nous a appris à rechercher la vie d'une façon négative, nous adaptant humblement à une société autoritaire et nous apprêtant à mourir pour les idéaux de nos maîtres. Les gens ne meurent par amour que dans les romans ; dans la réalité, ils meurent par haine.