Citations de Alexandra Gonzalez (53)
J’ai besoin d’être seul, et surtout qu’on me fiche une paix royale. J’ai besoin de réfléchir, et non de me perdre une fois de plus dans les bras d’une femme qui me laisse totalement froid et indifférent.
L’alcool me brûle, mais cette sensation amplifiée par ma longue abstinence, est un pur délice, une libération qui réchauffe mon corps.
Une des choses les plus agréables qu’amène la célébrité, c’est que certaines personnes, accordant énormément d’importance à nos portefeuilles bien garnis, sont prêtes à tout pour satisfaire les moindres de nos désirs.
Elle a toujours été ma ligne conductrice, ma lumière au bout du tunnel, mon phare dans la tempête… Pour être franc vis-à-vis de moi-même, j’ai toujours secrètement imploré le hasard pour qu’il fasse recroiser nos chemins un jour…
Je ne pourrais décrire exactement ce qui se passe dans ma tête à ce moment-là. De la joie, oui ! De l’amour, énormément ! Une envie irrésistible de pleurer, oui ! C’est inévitable et indéniable, mes yeux se troublent déjà de larmes, mais ce qui m’obsède le plus, c’est cet unique et simple mot.
J’ai fait un rêve, mais je ne m’en souviens plus. J’ai juste cette impression de bien-être, cette sensation que l’on ressent après un rêve qui rend la réalité plus triste.
Je suis seule. Je me rends compte que ce sentiment à toujours fait partie de ma vie. Cette vie ne me convient plus, c’est indéniable. Il faut que je mette un terme à tout ceci, mais en aurais-je le courage ? Stopper trois ans de couple aux portes de l’union, ce n’est pas la situation la plus agréable qui soit.
Pour quelqu’un qui prône le foncez et réfléchissez après, vous êtes parfois très contradictoire.
Les cernes que vous avez me disent que vous êtes fatiguée, lessivée. Vous êtes mince presque maigre, vous n’avez pas l’air très épanouie. Vous avez besoin de vous amuser... de vivre. S’il vous plaît, n’allez pas vous emprisonner dans ce putain de monde de frustrés, d’hypocrites et de requins, surtout avec ce genre de type.
Bel homme, assez grand, cheveux châtain plutôt foncé, yeux clairs. Il m’a souri et m’a semblé tout aussi insolent et arrogant que toutes les personnes présentes à cette soirée. Je ne m’étais pas tellement attardée dessus.
Je reste la même fille sage que l’on s’attend à voir, mais à l’intérieur je suis une vraie bombe à retardement.
J’écoute la musique. Je fais mine de bouger un peu à droite, à gauche, histoire de ne pas jouer le rôle d’une statue.
J’en ai marre de sourire, personne ne fait attention à moi de toute façon. Je fais tache même, voire très cruche au milieu de ces gens-là.