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Critiques de Alexandre Delmar (6)
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Te revoir !

Un étudiant gay de 20 ans est enlevé pour rançon par le biais d'un site de rencontre. Ses ravisseurs homophobes le rudoient et lorsque la presse s'empare de l'affaire le torture jusqu'à le laisser pour mort. Les forces de l'ordre retrouvent les ravisseurs et donnent l'assaut à temps pour le sauver. Narration par Julien et relation des réactions de sa famille et de son amant avec qui il a une relation stable depuis un an.
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Prélude à une vie heureuse

Ce livre est présenté comme une autobiographie de l'âge de 10 ans à 28 ans (vraisemblablement de1986 à 2004 ), acceptation très tardive de son homosexualité, ses amours enfantins non réalisés, etc

Je l'ai trouvé très moyen, l'écriture est assez plate, certaines erreurs et incohérence m'ont dérangé ( minitel, smartphone et Internet ± contemporains ? découverte tardive de l'informatique dans les grandes écoles ? salaire de 20 KF/mois pour un poste de responsabilité en 2000 ?)
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Le garçon qui pleurait des larmes d'amour

La lecture est facile et agréable, même si peu réaliste, on a droit à tout … famille à problème, décès des parents, centre d'accueil, amours adolescent, famille d'accueil, viol, prostitution, le pauvre chou a droit à toutes les misères … mais il les surmonte toutes avec brio ! par moment c'est du porno à l'eau de rose, cependant le roman a de l'intérêt de par la résilience extraordinaire du héro, pas de victimisation larmoyante du gay, ça change. Ce petit roman sort des chemins battus ("L’évolution actuelle de l’âge de la puberté donne raison à l’auteur, et il serait temps qu’on écoute les médecins, conscients des problèmes nouveaux posés par ce décalage croissant entre l’âge légal de consentement et l’âge de la puberté.").
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Le garçon qui pleurait des larmes d'amour

Critique publiée initialement sur le site Critiques Libres (2008)



Je n’avais jamais lu de Charles Dickens version gay, et je dois bien avouer que jusque là ma vie n’en n’était pas pour autant désagréable. Après un premier roman aux allures autobiographiques, sauvé par la sincérité qui s’en dégageait, Alexandre Delmar revient avec un roman de fiction dont on se serait volontiers passé…



Maxime n’a pas de chance dans la vie. Dans le genre, vraiment pas. Issu d’un milieu social assez bas, lui et son grand frère sont élevés principalement par leur mère pendant que leur père parcourt les routes pour qu’ils puissent vivre, rentrant à la maison de temps en temps. Très vite, tout s’enraye, le père absent rentre souvent énervé, frappe la mère, les enfants. La mère se met à boire, bouffe des antidépresseurs, les gamins sont livrés à eux-mêmes, Maxime tombe amoureux de Jérémy. En soi déjà, c’est presque une vie. Mais ce n’est pas tout. Un soir de trop, c’est l’accident, le père est tué par sa femme, qui tentait de protéger ses enfants. Prison, foyer d’accueil pour les enfants. Maxime a 12 ans, pense devenir Oliver Twist (Dickens n’est jamais loin) dans son nouveau centre, et en réalité rencontre Stéphane, un camarade de chambre. Coup de foudre, touche pipi, jeux d’adulte, voilà les garçons en couple. Oui oui, à douze ans.



Bon, je vous épargne la suite, qui englobe famille d’accueil, suicide mélodramatique, viol, émancipation, révélation du faux suicide. En fait, au bout de dix pages, on est déjà irrité. Surtout quand le narrateur, dix ans, nous sort du « quand maman est ressortie, ce n’était plus la même. Il y avait comme une cassure en elle, une blessure qui ne se refermerait jamais totalement et qui lui laisserait une cicatrice pour le restant de ses jours ». Et c’est comme ça tout le bouquin ! On alterne des phrases que jamais un enfant de douze ans ne penserait ni ne dirait (et je ne parle pas de ce qu’il fait…), avec d’autres baignant dans un style puéril tout aussi inadapté. Sans parler de la surenchère aux malheurs de la vie…



Bref, Le garçon qui pleure des larmes d’amour est une lecture aussi irritante qu’inutile, qui ne donne absolument pas envie de s’attaquer au troisième et dernier roman de l’auteur, qu’on peut pourtant difficilement imaginer être pire…
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Prélude à une vie heureuse

Critique initialement publiée sur le site Critiques Libres (2006)



On m'avait présenté ce premier livre d'Alexandre Delmar comme "très bon" pour un livre autobiographique.



J'avoue l'avoir dévoré en une nuit, à peine quelques heures, incapable de le refermer après l'avoir ouvert. Même si l'auteur est gay, et donc a fortiori l'autobiographie également, je crois que rien dans ce livre n'est choquant et n'en rendrait la lecture faite par un hétérosexuel impossible.



Décrivant de manière fluide et simple ce que fut sa vie de jeune homosexuel, puis sa vie actuelle de cadre supérieur dans un grand groupe bancaire, Alexandre Delmar arrive à nous tenir accroché aux pages de la première jusqu'à la dernière.



Une petite tranche de vie à lire bien éveillé, et pas seulement pour l'éphèbe de la couverture... !
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Le garçon qui pleurait des larmes d'amour

Je me souviens de ce roman touchant au style parfois naïf. C'est étrange comme un roman pourtant très banal peut rester en mémoire.
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