C'est l'intraitable refus de compromis de la part de la noblesse qui a poussé les députés du tiers état à se radicaliser - comme l'écrit le député Lally-Tollendal en 1790, "les communes voulaient conquérir, la noblesse voulait conserver, le clergé attendait qu'il y eut un vainqueur pour s'en faire un allié."