Comme dans le « Rivage des Syrtes », tout dans « Le Pavillon d'or » semble donc à la fois clair et obscur. Derrière le sens littéral, le lecteur ne cesse de chercher un sens caché. Cette histoire bien abstraite d'un homme aux prises avec la beauté y encourage. D'où le foisonnement des interprétations symboliques. Le texte les suscite en nous associant au mystère d'un homme et de son acte. Mais il ne nous dévoile les secrets ni de l'un, ni de l'autre. Le récit n'a qu'une face, celle que propose son narrateur.
(p. 114)