De nouveau, le chant du beffroi s’immisça dans son esprit. Le vol des oiseaux obstrua un bref instant sa vision. Des cheveux arrachés, des ongles sales et cassants... Le grésillement annonçant son agonie. Un monde opalescent. Un cri perdu dans l'immensité de sa prison...
Il n'y a ni paradis, ni enfer.
Il n'existe pas de refuge pour les défunts.