L’unité italienne, toute récente, ne s’embarrassait pas d’égalité des chances. Il fallait naître sous le soleil, près de la mer, et sur une terre fertile pour que la prospérité y semble naturelle. Elle restait relative. Sans argent, on avait à manger. Sans savoir lire, on pouvait travailler. Sans espoir, on vivait heureux.