Rosa nota, furieuse : "Si l'on étouffe la vie politique dans tout le pays, la paralysie gagnera obligatoirement la vie dans les soviets. Sans élections générales, sans une liberté de presse et de réunion illimitée, sans lutte d'opinion libre, la vie dépérira dans toutes les institutions publiques. Elle n'aura plus qu'une apparence de vie, et la bureaucratie demeurera le seul élément actif. Au fond, donc, un gouvernement de coterie. Une dictature - certes - mais la dictature d'un poignée de politiciens ; bref, une dictature dans le sens bourgeois."