On vieillit comme des cons et néanmoins à quelque chose malheur est bon, mais des cons comme les travailleurs allemands, ça s’est encore jamais vu. Les travailleurs allemands prennent encore et toujours leur bulletin de vote et vont dans l’isoloir et le glissent dans la fente et pensent alors que le tour est joué. Ils disent : nous voulons faire retentir notre voix au Reichstag; ma foi, qu’ils s’empressent de fonder une chorale.