Durant notre séjour au Soudan, il n'a ouvert les valises qu'une seule fois, pour en retirer un coffret de maquillage et deux flacons de parfum.
"Aurais-tu par hasard une troisiéme femme que tu aurais épousée en secret ? Une femme que tu aimes et à qui tu offres maquillage et parfum ? Ai-je plaisanté.
-oui, j'ai une troisiéme bien-aimée, d'ailleurs elle passe et passera toujours avant toutes les autres, car je l'aime de passion : c'est la mort en martyr pour la gloire de Dieu.
- magnifique ! Lui ai-je répondu.
C'est parole ont accentué encore mon envie de djihâd. (P 140)