Avec les progrès médicaux de l'époque moderne, les médecins envisagent de plus en plus les femmes marginales comme des malades qu'il faut soigner voire interner plutôt que comme des sorcières.
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, les médecins s'intéressent à l'épilepsie et à l'hystérie, un mal féminin qui connaîtra un véritable " âge d'or " au XIXe siècle.