Condamner la vie comme un mal et nier ses plus haute possibilités d'épanouissement avant d'avoir pénétré jusqu'à la compréhension du tout, avant d'avoir réalisé les plus hautes capacités de la conscience et atteint l'état d'illumination, fleur et accomplissement de toute existence, est non seulement présomptueux mais encore insensé. C'est le comportement d'un homme qui déclare immangeable et qui rejette un fruit vert, au lieu de le laisser mûrir.