Il contemple avec douleur le logis de son fils, la salle de ses festins désertée, rendez-vous des vents, désormais sans joie. Les cavaliers dorment dans la mort, les guerriers dans l'ombre du tombeau, la harpe s'est tue, l’allégresse au manoir, images d'un passé disparu.
Puis il gagne sa couche, pousse un chant de mort, seul sur son fils. Tout lui paraissait trop vaste, terres et demeure.