Tout ce que nous quittons à jamais
I
Le paysage qui pèse de plus en plus,
c’est par en avant, là où se terre
la nuit dans sa porosité, quand les
yeux n’en finissent plus de ne rien
remarquer : la place des corps dans
l’espace qui se débat, le peu de ciel
qui nous reste au beau milieu du réel.
Les mêmes rêves ratés, aussi bien à
Varsovie qu’à Prague blancs dans
la honte de la craie autour du cœur.