Il n'y a rien à promettre
L'aube se lève à ton cou
Par tous les temps qui s'évadent
Et improvisent vivement
Comme des iles sous le vent
C'est une récolte légère
Ou la main a sa part
La main leste qui n'a jamais semé
Ni calculé le rythme des saisons
Pour se saisir du grain de tes épaules
Sous le ciel de Jaipur
Un lit à la renverse
Toi la surprise à la bouche
Et la pensée passe au feu
Qui change de prisme d'offrande de source
Avec les traces sans preuve
D'une gerbe de roses consentantes
Au grand mystère de l'harmonie
Fascinée et fragile
En sa métamorphose